C’est dans une conférence de presse organisée au siège UFP que le président Mohamed Ould Mouloud, entouré des principaux dirigeants de son parti, s’est adressé à la presse pour selon lui, «apporter des éclaircissements sur la situation de crise qui prévaut actuellement dans le pays ».
Pour être plus explicite sur l’ingérence des militaires dans la chose politique, Ould Mouloud a mentionné, au début de son propos son intention d’ « appeler les choses par leur nom, allant jusqu’à dire qu’il citera certains officiers, pas en leur qualité de militaires, mais en, tant que acteurs politiques » présents dans les dissensions qui existent aujourd’hui au sein de la majorité.
Ould Mouloud Mentionnera que ceux qui travaille pour la motion de censure n’ont rie gagné jusqu’à présent et que tout se jouera en fonction de l’attitude des parlementaires encore hésitants et qui, en général, « préfèrent se mettre du côté des plus forts ».
Ould Mouloud expliquera que cette situation est aussi grave que le pays se trouve déjà dans une crise sans précédent.
Il précisera : « Ceux qui ont créée les dissensions ne peuvent pas avoir, tout simplement, l’intention de protester contre la présence de quatre ministres issus de l’ancien système ; cela ne se justifie pas. Je dirai que le remède vers lequel il s’achemine provoque beaucoup plus de mal ».
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Source: ANI
(M) avomm
Pour être plus explicite sur l’ingérence des militaires dans la chose politique, Ould Mouloud a mentionné, au début de son propos son intention d’ « appeler les choses par leur nom, allant jusqu’à dire qu’il citera certains officiers, pas en leur qualité de militaires, mais en, tant que acteurs politiques » présents dans les dissensions qui existent aujourd’hui au sein de la majorité.
Ould Mouloud Mentionnera que ceux qui travaille pour la motion de censure n’ont rie gagné jusqu’à présent et que tout se jouera en fonction de l’attitude des parlementaires encore hésitants et qui, en général, « préfèrent se mettre du côté des plus forts ».
Ould Mouloud expliquera que cette situation est aussi grave que le pays se trouve déjà dans une crise sans précédent.
Il précisera : « Ceux qui ont créée les dissensions ne peuvent pas avoir, tout simplement, l’intention de protester contre la présence de quatre ministres issus de l’ancien système ; cela ne se justifie pas. Je dirai que le remède vers lequel il s’achemine provoque beaucoup plus de mal ».
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(M) avomm