
Telles sont les questions que l’on ne peut se retenir en constatant que les Sélibabiens vivent dans un véritable sabotage alors que la situation ressemble à comme si tout est rose. En plus de la défectuosité des services de santé, de l’hydraulique et de l’état civil pourtant dénoncée à chaque occasion, Sélibaby ne finit pas encore de souffrir l’absence des services de qualité. En effet, la ville baigne dans un noir total depuis pratiquement deux mois par manque d’électricité. La SOMELEC est reconnue être l’une des sociétés mauritaniennes la moins efficace, mais ce qui se passe à Sélibaby ne se passe nul part ailleurs en Mauritanie. Certains corps de métier (garage, atelier de soudure, de menuiserie) sont fermés et les jeunes se retrouvent au chômage parce que la SOMELEC ne fonctionne pas correctement. Dans les familles, la situation est comparable à se qui se passait dans les guetos noirs de la Sud Afrique lors des années d’apartheid. Dans certains quartiers, le matériel électroménagers (frigo, radio, télévision) ont était tout simplement rangés. Ainsi, les populations se trouvent avec un niveau de vie plus bas que jamais. Chez les autres services (ONG, Banque, Bureau d’étude), il s’installe « un sauf qui peut ». Ceux qui disposent de moyens se procurent de groupe électrogène, d’autres des panneaux solaires pour fonctionner à minima.
Face à la situation, les quelques menuisiers et soudeurs qui étaient sortis dans les rues se tout simplement retrouvés à la police, « c’est la loi du plus fort qui est toujours la meilleure ». Depuis, Sélibaby est dans un calme qui ne dit pas sont nom. Ce qui est regrettable dans tout ça, ce que les factures de la SOMELEC sont plus régulières et plus chères jamais.
Qu’est ce qui est responsable se demande t-on ? L’administration ou les administrés ?
La responsabilité est partagée ! Quel que soit la défaillance du système, quel que soit la performance de la SOMELEC dans sa escroquerie appuyée par l’administration, les populations sont tenues de manifester leur insatisfaction, car qui ne dit rien consent ou cautionne.
A interroger la population, certaines personnes pensent que c’est normal, « un peuple n’a de dirigent qu’il mérite ». La situation a pu exister parce que :
Le matériel de la SOMELEC à Sélibaby n’a jamais était amorti. Des groupes qui fonctionnement depuis 1996 date d’installation de la centrale ne peuvent plus satisfaire la demande. Le matériel qui existe actuellement n’est pour répondre à un service ou à la demande d’une clientèle, mais juste un happa pour escroquer les populations à travers des factures exorbitantes.
Le Guidimakha a vécu dans des conditions indignes au moment où le pays disposait d’un président à plus forte raison au moment où il en dispose quatre tous sans responsabilité, ni projet de société ou un simplet programme que les administrateurs et les services techniques auraient pris en charge pour soulager une population abandonnée en elle-même.
Le président du Haut Conseil d’Etat, après avoir « poussierer » toutes les rues de Sélibaby, n’a pas manquer de faire comme ses prédecesseurs, un long discours à qui veut l’entendre dans lequel des jolies promesses qui ne tiennent à rien. Ce discours est tenu devant une population égarée «To doguee wadi, to fayee ala »
D’autres pensent que les populations du Guidimakha ont longtemps souffert, que ça doit suffire, que de telles pratiques injustes ne doivent pas exister au profit d’une poignée de personnes qui s’enrichissent sur les dos des pauvres.
La population de Sélibaby crie au secours !!! oh que ça suffise !!
Signé
Thiorno Bathia Samba
Etudiant en journalisme
Face à la situation, les quelques menuisiers et soudeurs qui étaient sortis dans les rues se tout simplement retrouvés à la police, « c’est la loi du plus fort qui est toujours la meilleure ». Depuis, Sélibaby est dans un calme qui ne dit pas sont nom. Ce qui est regrettable dans tout ça, ce que les factures de la SOMELEC sont plus régulières et plus chères jamais.
Qu’est ce qui est responsable se demande t-on ? L’administration ou les administrés ?
La responsabilité est partagée ! Quel que soit la défaillance du système, quel que soit la performance de la SOMELEC dans sa escroquerie appuyée par l’administration, les populations sont tenues de manifester leur insatisfaction, car qui ne dit rien consent ou cautionne.
A interroger la population, certaines personnes pensent que c’est normal, « un peuple n’a de dirigent qu’il mérite ». La situation a pu exister parce que :
Le matériel de la SOMELEC à Sélibaby n’a jamais était amorti. Des groupes qui fonctionnement depuis 1996 date d’installation de la centrale ne peuvent plus satisfaire la demande. Le matériel qui existe actuellement n’est pour répondre à un service ou à la demande d’une clientèle, mais juste un happa pour escroquer les populations à travers des factures exorbitantes.
Le Guidimakha a vécu dans des conditions indignes au moment où le pays disposait d’un président à plus forte raison au moment où il en dispose quatre tous sans responsabilité, ni projet de société ou un simplet programme que les administrateurs et les services techniques auraient pris en charge pour soulager une population abandonnée en elle-même.
Le président du Haut Conseil d’Etat, après avoir « poussierer » toutes les rues de Sélibaby, n’a pas manquer de faire comme ses prédecesseurs, un long discours à qui veut l’entendre dans lequel des jolies promesses qui ne tiennent à rien. Ce discours est tenu devant une population égarée «To doguee wadi, to fayee ala »
D’autres pensent que les populations du Guidimakha ont longtemps souffert, que ça doit suffire, que de telles pratiques injustes ne doivent pas exister au profit d’une poignée de personnes qui s’enrichissent sur les dos des pauvres.
La population de Sélibaby crie au secours !!! oh que ça suffise !!
Signé
Thiorno Bathia Samba
Etudiant en journalisme