
Radio Mauritanie s'est dotée d'antennes régionales.Jusque-là, cantonnée à Nouakchott, la maison de la Radio vient d'ouvrir des stations à l'intérieur du pays.Ainsi après Néma, Kaëdi, Sélibaby a assisté, il y a quelques semaines de cela à l'inauguration de sa station de radio.L'installation des antennes régionales a été saluée par les populations qui parlent de progrès.L'avis n'est pas partagé par tous.
Ce n'est certainement les pigistes de Radio Mauritanie qui iront soutenir le contraire. Ils ne sont pas contents. L'ire de pigistes est provoquée par les discriminations dont ils sont victimes. «A radio Mauritanie, il existe de types de pigistes», confie un employé de la maison. Il y a ceux qui ont été appuyé par des pistons, des gens bien placés qui ont bien voulu intervenir en leur faveur. Il y a ceux qui ont subi un stage fait leurs preuve avant d'être recrutés. «Les premiers ne travaillent que trois jours dans la semaine et touchent 50 000 UM par mois» «Les seconds travaillent quatre jours dans la semaine, et ne touchent que 30 000 UM par mois». Le drame de ce dernier est plus grave qu'on ne pourrait l'imaginer, non seulement ils ne sont pas bien. Radio Mauritanie n'offre que trop peu des perspectives d'embauche. Traduction : ces pigistes peuvent longtemps demeurés pigistes avec comme salaire 30 000 de mois. Le personnel embauché est mieux payé, mais ils sont rarement présents dans les locaux de la radio, ce qui fait dire à un employé : « A Radio Mauritanie, plus on travaille, moins on est payé».
Samba Camara
http://www.le-renovateur.com
source: CongresReconciliation@yahoogroupes.fr
Ce n'est certainement les pigistes de Radio Mauritanie qui iront soutenir le contraire. Ils ne sont pas contents. L'ire de pigistes est provoquée par les discriminations dont ils sont victimes. «A radio Mauritanie, il existe de types de pigistes», confie un employé de la maison. Il y a ceux qui ont été appuyé par des pistons, des gens bien placés qui ont bien voulu intervenir en leur faveur. Il y a ceux qui ont subi un stage fait leurs preuve avant d'être recrutés. «Les premiers ne travaillent que trois jours dans la semaine et touchent 50 000 UM par mois» «Les seconds travaillent quatre jours dans la semaine, et ne touchent que 30 000 UM par mois». Le drame de ce dernier est plus grave qu'on ne pourrait l'imaginer, non seulement ils ne sont pas bien. Radio Mauritanie n'offre que trop peu des perspectives d'embauche. Traduction : ces pigistes peuvent longtemps demeurés pigistes avec comme salaire 30 000 de mois. Le personnel embauché est mieux payé, mais ils sont rarement présents dans les locaux de la radio, ce qui fait dire à un employé : « A Radio Mauritanie, plus on travaille, moins on est payé».
Samba Camara
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source: CongresReconciliation@yahoogroupes.fr