
Le regroupement des victimes des Evénements de 89/91 (REVE), se déclare inquiet de la lenteur dans le règlement du cas des réfugiés, en provenance du Sénégal et du Mali. Dans un communiqué rendu public lundi 22 mars 2010, le REVE se dit anxieux de la situation des fonctionnaires et Agents de l’Etat pour lesquels, un recensement exhaustif, a été réalisé officiellement du 03 au 14 janvier 2010, en vue de la solution définitive à apporter pour le cas de cette catégorie de réfugiés.
Dans le communiqué, le REVE témoigne qu’il subsiste des zones d’ombres malgré la preuve de volonté de la haute autorité de l’Etat pour la rapidité dans la solution à apporter.
Saluant les efforts entrepris par les autorités locales, le REVE exhorte les pouvoirs publics à prendre en compte : la réintégration des fonctionnaires et agents de l’Etat avec la reconstitution de leur carrière, les indemnisations compensatrices pour les préjudices subis lors des événements de 89/91. Il demande aussi, la levée du verrou de la limite d’âge et de l’exercice des années de service effectif des agents concernés, afin de leur accorder la latitude, en tant que victimes valides, de choisir de continuer dans leur structure ou d’opter pour la mise à la retraite avec la valorisation de tous les droits à pension.
Déplorant le cas des enseignants victimes réintégrés tout récemment dont selon eux, leur situation demeure lancinante, du fait que leurs droits entiers ne sont pas réglés, le REVE demande, à ce que les pouvoirs publics, statuent sur le cas de toutes les catégories de victimes (secteur public, parapublic, privé et informel), pour apurer totalement ce dossier, afin que cette page sombre soit fermée définitivement.
Dialtabé
quotidien-Nouakchott
Dans le communiqué, le REVE témoigne qu’il subsiste des zones d’ombres malgré la preuve de volonté de la haute autorité de l’Etat pour la rapidité dans la solution à apporter.
Saluant les efforts entrepris par les autorités locales, le REVE exhorte les pouvoirs publics à prendre en compte : la réintégration des fonctionnaires et agents de l’Etat avec la reconstitution de leur carrière, les indemnisations compensatrices pour les préjudices subis lors des événements de 89/91. Il demande aussi, la levée du verrou de la limite d’âge et de l’exercice des années de service effectif des agents concernés, afin de leur accorder la latitude, en tant que victimes valides, de choisir de continuer dans leur structure ou d’opter pour la mise à la retraite avec la valorisation de tous les droits à pension.
Déplorant le cas des enseignants victimes réintégrés tout récemment dont selon eux, leur situation demeure lancinante, du fait que leurs droits entiers ne sont pas réglés, le REVE demande, à ce que les pouvoirs publics, statuent sur le cas de toutes les catégories de victimes (secteur public, parapublic, privé et informel), pour apurer totalement ce dossier, afin que cette page sombre soit fermée définitivement.
Dialtabé
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