Le président de la République, renversé le 6 août dernier par un coup d’Etat militaire, est arrivé ce jeudi matin à Nouakchott, où son déplacement spécial devra trouver son explication dans ces retrouvailles qu’il doit avoir avec les médiateurs internationaux.
Ces derniers, que sont le président sénégalais Me Abdoulaye Wade, le Président de la Commission de l’UA, Jean Ping et le Commissaire chargé de la paix et de la sécurité au sein de l’organisation panafricaine, sont incessamment attendus aujourd’hui à Nouakchott, pour lever les dernières zones d’ombre sur les pourparlers de Dakar II, devant les obstacles desquels, les négociateurs des trois pôles politiques de la crise nationale sont restés impuissants au cours de leurs dernières discussions dans la capitale sénégalaise.
Cette fois, contrairement à ses précédentes visites à Nouakchott, l’arrivée du président de la République Ould Cheikh Abdallahi, a toutes les chances de ne pas être comme celle de mars dernier, où son arrivée à Nouakchott de son fief natal Lemden, pour rejoindre Tripoli, était plus, un déplacement protocolaire qu’un voyage motivé.
Ceci est d’autant plus vrai pour lui qui était parfaitement conscient de cette non neutralité avérée, manifestée à l’époque par le président en exercice de l’Union Africaine, le Guide libyen Mouammar El Kadhafi, dont le cœur battait énormément pour les putschistes et sa théorie « du fait accompli » que pour le retour à l’ordre constitutionnel et la légitimité.
L’arrivée de Sidi Ould Cheikh Abdallahi est un bon signe pour l’avenir de l’Accord Cadre de Dakar, mais, cette bonne volonté du président légitime, toujours prêt à s’acquitter de ses promesses si le consensus prendrait acte, ne doit pas être gâtée par ceux qui font de la dissolution du Haut Conseil d’Etat « une ligne rouge ».
Ces irréductibles là, même si dans leur entendement, la démission de Sidioca, n’est pas « une ligne rouge », doivent avoir la certitude qu’elle est une colonne rouge dont on ne peut atteindre le sommet que par la dissolution tant défendue du HCE.
Ceci est d’autant plus vrai pour lui qui était parfaitement conscient de cette non neutralité avérée, manifestée à l’époque par le président en exercice de l’Union Africaine, le Guide libyen Mouammar El Kadhafi, dont le cœur battait énormément pour les putschistes et sa théorie « du fait accompli » que pour le retour à l’ordre constitutionnel et la légitimité.
Mohamed Ould Mohamed Lemine
mdhademine@yahoo.fr
via cridem
Ces derniers, que sont le président sénégalais Me Abdoulaye Wade, le Président de la Commission de l’UA, Jean Ping et le Commissaire chargé de la paix et de la sécurité au sein de l’organisation panafricaine, sont incessamment attendus aujourd’hui à Nouakchott, pour lever les dernières zones d’ombre sur les pourparlers de Dakar II, devant les obstacles desquels, les négociateurs des trois pôles politiques de la crise nationale sont restés impuissants au cours de leurs dernières discussions dans la capitale sénégalaise.
Cette fois, contrairement à ses précédentes visites à Nouakchott, l’arrivée du président de la République Ould Cheikh Abdallahi, a toutes les chances de ne pas être comme celle de mars dernier, où son arrivée à Nouakchott de son fief natal Lemden, pour rejoindre Tripoli, était plus, un déplacement protocolaire qu’un voyage motivé.
Ceci est d’autant plus vrai pour lui qui était parfaitement conscient de cette non neutralité avérée, manifestée à l’époque par le président en exercice de l’Union Africaine, le Guide libyen Mouammar El Kadhafi, dont le cœur battait énormément pour les putschistes et sa théorie « du fait accompli » que pour le retour à l’ordre constitutionnel et la légitimité.
L’arrivée de Sidi Ould Cheikh Abdallahi est un bon signe pour l’avenir de l’Accord Cadre de Dakar, mais, cette bonne volonté du président légitime, toujours prêt à s’acquitter de ses promesses si le consensus prendrait acte, ne doit pas être gâtée par ceux qui font de la dissolution du Haut Conseil d’Etat « une ligne rouge ».
Ces irréductibles là, même si dans leur entendement, la démission de Sidioca, n’est pas « une ligne rouge », doivent avoir la certitude qu’elle est une colonne rouge dont on ne peut atteindre le sommet que par la dissolution tant défendue du HCE.
Ceci est d’autant plus vrai pour lui qui était parfaitement conscient de cette non neutralité avérée, manifestée à l’époque par le président en exercice de l’Union Africaine, le Guide libyen Mouammar El Kadhafi, dont le cœur battait énormément pour les putschistes et sa théorie « du fait accompli » que pour le retour à l’ordre constitutionnel et la légitimité.
Mohamed Ould Mohamed Lemine
mdhademine@yahoo.fr
via cridem