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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

Thiam Ousmane Moussa est un ancien député AC élu en 2001. Il est le coordinateur régional de l'AJD/MR à Dakhlet Nouadhibou.


Thiam Ousmane Moussa est un ancien député AC élu en 2001. Il est le coordinateur régional de l'AJD/MR à Dakhlet Nouadhibou.
Nous l'avons rencontré dans la capitale économique. Au cours de l'interview qu’il a accordée au QDN, il aborde la situation de son parti dans la wilaya, les problèmes économiques et sociaux ainsi que d'autres



Quotidien de Nouakchott : Comment se porte l’AJD/MR à Nouadhibou ?

Thiam Ousmane Moussa : Permettez-moi de vous remercier tout d’abord au nom de tous les militants parce que l’AJD/MR n’a pas toujours été approchée par certains médias. Donc le fait que vous en ayez pris l’initiative nous va droit au cœur. Ceci dit, je crois que pour mesurer le poids de l’AJD/MR au niveau de Dakhlet Nouadhibou il faut objectivement se fier aux chiffres sinon aux positions déjà connues. Depuis la naissance du parti et bien avant d’ailleurs, le Mouvement pour la Réconciliation Nationale de 2007 avait déjà donné le ton. A l’époque j’étais directeur de campagne de Ibrahima Moctar Sarr à Nouadhibou et j’ai été surpris par le ralliement massif de la population de cette ville. Ce ralliement a fini par nous classer à la cinquième position sur 19 candidats au fauteuil présidentiel. Disons même, pour être plus précis, dans les quatre premiers parce que Sidi Ould Cheikh Abdellahi n’avait pas de parti.

En 2009, l’AJD/MR est arrivée troisième à Nouadhibou après Mohamed Ould Abdel Aziz et Messaoud Ould Boulkheïr qui était soutenu, ne l’oublions pas, par 11 partis coalisés au sein du FNDD. AJD/MR, je dois le dire, a approché les 4.000 voix pendant que les onze partis de la coalition dite de l’opposition de l’époque totalisaient un peu plus de 6.000 voix. C’est dire donc que nous sommes dans une position respectable. L’AJD/MR était restée constante, stable et je dirais même progressive. Elle est restée troisième à l’élection présidentielle de 2009. Et pour cause, si les 6.000 voix obtenus par la coalition des 11 partis ayant soutenu Messaoud Ould Boulkheïr étaient divisées entre ces formations politiques –étant entendus qu’elles représentent quelque chose- il serait aisé à tout un chacun de se rendre compte que relativement, l’AJD/MR est de loin le deuxième parti au niveau de Nouadhibou où le parti a devancé les candidats Ahmed Ould Daddah, Ely Ould Mohamed Vall ainsi que tous les autres. Nous sommes un parti réellement représentatif, surtout que nous sommes structurés maintenant depuis que nous sommes passés à la phase implantation.

D’ailleurs à ce sujet, je dois vous signaler que nous avons laissé les militants faire leur choix librement sans jamais interférer dans ces choix. J’ai été tout le temps ferme pour qu’aucun responsable n’intervienne dans le choix des dirigeants au niveau des comités. Nous avons installé des comités qui sont viables, réelles. Ils ont coupé leur carte, communiqué eux-mêmes les références de leur carte d’identité, signé eux-mêmes devant la fiche d’adhésion. Donc, sachez-le, ce ne sont pas des adhésions fictives. Nous sommes entrain de faire un travail de profondeur assez efficace. Nous pensons que petit à petit on aura des gens malgré la secousse que nous avons connue surtout pendant l’élection de 2009 avec les dénigrements qui ont été faits sur la personne de notre président. Aujourd’hui tout le monde se rend compte que c’était une guerre de destruction menée contre l’AJD/MR à des fins que nous connaissons tous.

Action pour le Changement avait en son temps connu les mêmes problèmes qui lui ont valu la dissolution. L’AJD/MR en 2007 a apparu comme étant une voix légitime de tous ceux qui souffraient des problèmes d’injustice graves qui frappaient des populations qui ne demandaient qu’à participer à la construction de leur pays, à être respectées, à être reconnues comme étant des citoyens, à être écoutées, à vivre culturellement et à s’épanouir dans leur propre pays en partage avec tous les autres. Je crois que ce discours là, patiemment et intelligemment est entrain de passer, sans arrogance, sans injures avec toute la courtoisie nécessaire et avec toute la fermeté aussi indispensable. Voilà la position actuelle de l’AJD/MR au niveau de Nouadhibou. Maintenant tout est vérifiable sur le terrain. J


Dans la vie démocratique régionale, comment se présente vos rapports avec l’administration et aussi avec les autres partis qui y sont implantés.

Il faut dire qu’avec les autorités cela n’existe pratiquement pas. De façon générale d’ailleurs, les autorités administratives ont pris l’habitude de considérer que les partis politiques ne sont là que pour les servir de relais en vue de véhiculer leurs messages uniquement. Ils ne prennent pas les partis politiques comme étant des partenaires indispensables. Nous ne sommes appelés qu’à de rares occasions de visites de chefs d’Etat pour accueillir l’hôte. Il arrive même que d’importantes personnalités passent à Nouadhibou sans que nous soyons tenus au courant. En fait on ne nous associe pas à la vie de la région. Or, ces autorités oublient que nous sommes des acteurs politiques donc des partenaires. Nous ne sommes pas des adversaires, ni des ennemis. Si elles se mettaient au dessus de la mêlée, nos rapports auraient pu être plus fluides, importants et peut-être même constructifs. Malheureusement ce n’est pas le cas. Il nous arrive rarement d’être reçu par les autorités. Même si nous le demandons, c’est souvent difficile car les obstacles sont nombreux. Jusqu’à présent –et vous ne l’ignorez pas- les partis sont catalogués puisque les autorités ayant déjà choisi leur bord, ne jouent pas le jeu de la démocratie, confondent leur rôle de gouvernant et leur rôle de militant. Comme elles n’arrivent pas à faire la part des choses, je peux dire que nos rapports ne sont pas des rapports de confiance.

Et avec les partis politiques ?

Les partis politiques c’est à l’image de ce qui se passe au niveau du pays. Certains d’entre eux sont regroupés au sein de la Coordination de l’Opposition Démocratique. Ils ont leurs propres rapports, leur propre discipline. Nous ne faisons pas partie de cette coalition, donc c’est de loin que nous entretenons des rapports cordiaux. Nous n’avons pas en vérité des rapports politiques réels parce que le front de l’opposition n’est pas élargi à l’AJD/MR pour des raisons que vous n’ignorez pas. Maintenant par rapport à la société civile oui, là nous essayons de l’approcher, l’interpeller sur certaines questions, l’écouter surtout par rapport à la situation régionale, quand on sait qu’il y a tous les travailleurs qui subissent au niveau de la pêche, des situations dramatiques. Certains sont déflatés, licenciés tandis que d’autres comme les marins sont mis à terre et leurs droits non payés. Au niveau des grandes institutions économiques comme par exemple la SNIM, les injustices sont graves au niveau des nominations et en particulier pour ce qui concerne le partage des responsabilités. C’est pourquoi d’ailleurs cela fait partie de nos revendications. Vous trouvez une forte tribalisation du pouvoir économique, une forte tribalisation de l’affectation au niveau des responsabilités, au niveau des promotions. Donc ce sont des situations extrêmement difficiles à accepter, car elles ne contribuent pas à restaurer la confiance.

Or il y a des sociétés phares telle que la SNIM qui est quand même un symbole de l’Etat. N’oubliez pas que le directeur général de la SNIM est nommé par l’Etat. Donc de par sa fonction c’est une institution politique qui symbolise l’Etat qui est un actionnaire majoritaire. Par conséquent il doit avoir un droit de regard régalien sur ce que fait la SNIM. L’Etat est comptable de tous les actes posés par la direction de la SNIM en termes de traitement des citoyens, en termes de traitement des travailleurs, en termes de traitement au niveau économique, en terme de production et autres réalisations. La SNIM doit représenter un fleuron où on pourrait se vanter de la justice sociale, de l’égalité des citoyens. Tel n’est malheureusement pas le cas, c’est à déplorer.


Nouadhibou est agité ces derniers temps par des problèmes de « Gazra » à l’image d’ailleurs de Nouakchott. Il semble que ce soit devenu un créneau pour les populations démunies afin d’obliger les autorités à les régulariser dès lors qu’il est devenu impossible de trouver une attribution par la voie légale. Quel regard portez-vous sur une telle situation ?

Les « Gazras » font partie des promesses faites à l’époque pendant la campagne électorale nonobstant les distributions de millions d’ouguiyas à des régions. Personne ne sait d’où proviennent ces millions encore moins à qui cet argent a été donné, ni les procédures empruntées pour les remettre. D’ailleurs le bilan sera fait très certainement et disons que cela faisait partie d’une vaste entreprise de corruption des mentalités. C’était déjà un objet d’annulation de l’élection ou à tout le moins en tout cas, de la candidature. Ces millions et ces « Gazras » étaient une manière de pousser les gens à voter, après quoi, quelques uns auront des parcelles de terrain mais les autres seront à la touche. Et c’est ce qui a fait que la population y a cru naïvement. Mais le réveil a été brutal puisqu’elle se rend compte que les promesses électorales en Afrique, surtout dans notre contexte particulièrement, ne sont pas à prendre pour de l’argent comptant. Raison pour laquelle vous avez entendu parler de la violence faite aux occupants des « Gazra ». Au fond il ne faut pas se leurrer, les rapports entre l’administration publique et les citoyens n’ont pas beaucoup évolué. Depuis la décolonisation, le citoyen est mis dans des situations telles qu’il doit toujours et en permanence, avoir peur de l’administration faute de dialogue, de relais sociaux crédibles et que les partenaires politiques ne sont pas mis à contribution. Le pouvoir veut toujours montrer sa force brute. Comme disait l’autre, la faiblesse de la force c’est de ne croire qu’en la force.


La capitale économique semble baigner dans un marasme économique général. Qu’est ce qui ne va pas au fond ?

Il y’a effectivement un marasme économique du fait que le secteur de la pêche sur lequel nous fondions beaucoup d’espoir ne marche pas. Aujourd’hui, les grands magnats de la pêche font la loi. Ils ferment leurs sociétés quand ils veulent sans qu’une déclaration de faillite normale n’intervienne, ils mettent à terre les matelots à tout va comme bon leur semble. Par exemple au niveau de la SNIM, les tâcherons font la loi avec des travailleurs maigrement payés, sans couverture sociale, pas soigné du tout même s’il lui arrivait la moindre égratignure, alors que les patrons tirent un profit substanciel sur les maigres ressources données aux travailleurs. A la moindre revendication ils sont licenciés.

Quand la puissance étatique, n’est pas là pour protéger les travailleurs, rétablir la justice, dicter sa ligne de conduite et l’imposer, quand cette puissance sociale n’est pas là disais-je, mais tout est permis. C’est pourquoi aujourd’hui la situation de Nouadhibou est catastrophique. Les prix montent, les populations souffrent, vivent difficilement et puis il n’y a aucune entité économique nouvelle qui se crée. La pêche n’a pas servi à impulser une dynamique économique ailleurs complémentaire. A la SNIM c’est la même chose. Le minerai est embarqué et débarqué ailleurs, l’argent arrive et entre à la BCM, les petits investissements se résument à la construction de quelques écoles sur le tronçon Nouadhibou-Zouérate mais en terme d’impact économique réelle par la création de sociétés, c’est nul. On ne voit pas. Les tâcherons s’accaparent de tout. Les fournisseurs, pour la plupart, pratiquent une économie tribale. La thésaurisation est beaucoup plus forte qu’en terme d’investissement économique. Franchement, on ne peut pas dire rque Nouadhibou se développe réellement. Non, Nouadhibou au contraire, connaît une situation dégraddante, une situation déplorable, une situation que je dirais à la limite fâcheuse.


Bruxelles va abriter les 22 et 23 juin une table ronde entre la Mauritanie et ses partenaires occidentaux. En tant qu’ancien parlementaire qu’attendez-vous de cette réunion ?

A priori, on ne doit pas souhaiter que notre pays n’ait pas des investissements. Mais le problème c’est le mystère qui entoure cette manière de négocier. Aujourd’hui, l’administration publique a plus peur, a plus de respect pour l’extérieur que pour ses propres citoyens. Parce que toutes les concessions qui sont faites au citoyen le sont pour plaire aux bailleurs de fonds. Donc ces négociations montrent jusqu’à présent la dépendance de la Mauritanie vis-à-vis de ses partenaires européens et montre aussi la véritable personnalité des institutions étatiques par rapport à la gestion interne de leur pays. On va quémander de l’argent et pour plaire on va déclarer respecter à la lettre certains critères comme les fameux 24 points que vous connaissez à l’époque quand ils sont partis négocier à Bruxelles. Le même scénario que l’actuel. On lâche du lest sur le plan démocratique en laissant l’opposition marcher quelques temps, faire des meetings, dire ce qu’elle veut mais sans admettre qu’elle s’adresse directement aux citoyens par les médias nationaux.

Nous allons négocier mais nous allons essayer de dire que nous sommes un Etat démocratique, nous respectons les libertés individuelles et collectives,mais une fois que les financements sont obtenus, retour à la case départ. Parce que ce sont les mêmes hommes, les mêmes structures, les mêmes mentalités qui aujourd’hui, sont les tenants du pouvoir. Il n’y a aucun changement. S’il y avait une volonté réelle de changement on ne refonderait pas la puissance de l’Etat à partir de sructures qui ont fait déjà leurs preuves dans la faillite et dans la corruption.


Vous dîtes qu’il n’y a aucun changement, pourtant l’AJD/MR a salué certaines décisions du président de la République, même si le parti est critique sur d’autres questions. Qu’en pensez-vous ?

Ecoutez, le changement c’est un tout. La personne du président de la République peut avoir une bonne volonté de changement. Mais si elle ne prend pas les décisions qu’il faut, le changement risque de ne pas se faire. Le président de la République est une personne à la tête d’une institution. Or ce qu’il nous faut c’est changer de système pour qu’il survive aux hommes. Mais si nous ne fondons tous nos espoirs que sur une personne, si elle disparaît, tout s’écroule. C’est pourquoi j’ai dit que tout l’entourage, toute la mentalité, toute la cuisine qui est là et qui sous tend l’action du président, si elle n’a pas la volonté de réaliser le rêve qu’il a pour la Mauritanie -si véritablement ce rêve est sincère- il faut qu’il le réalise autrement par d’autres mauritaniens qui sont propres.

Maintenant l’AJD/MR est cohérente parce qu’elle dit que tout ce qui est fait de positif elle le reconnaît mais tout ce qui est négatif elle le critique. Nous sommes ouverts à toute discussion avec n’importe quel partenaire politique, qu’il soit de l’opposition ou de la Majorité présidentielle, mais nous dirons dans les discussions ce que nous pensons. C’est clair.


Où en sont les pourparlers entre l’AJD/MR et la Majorité présidentielle ?

Je ne peux pas vous dire où ils en sont. Je n’appelle pas ça négociation mais plutôt des discussions parce que tout simplement je suis loin de Nouakchott où cela se passe. Il y a une commission créée et qui a en charge ce dossier. Elle discute sur la base de notre programme, sur la base de notre vision. Certains pensent que pour l’AJD/MR discuter signifie rallier le pouvoir pour gagner quelques strapontins. Si c’était le cas aujourd’hui, les dirigeants de l’AJD/MR ne seraient pas là où ils sont.


Propos recueillis par Moussa Diop à Nouadhibou

Source : Le Quotidien de Nouakchott
via le site de ajd/MR
Vendredi 25 Juin 2010 - 12:15
Vendredi 25 Juin 2010 - 12:17
INFOS AVOMM
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1.Posté par Adama NGAIDE le 25/06/2010 18:50
Toujours egal a lui meme. Qu;allah t'accorde longue vie. Amiin. La defaite des politicards, des voleurs des derniers publics, les comploteurs et autre opportunistes de toutes sortes ont perdu le combat. Incha allah nous vaincrons et peu importe notre nombre car la verite pour qu'elle triomphe, elle n'a point besoin d'un bataillon de militants surtout si ce dernies sont et ne sont mus que par l'argent, le materil pour pavanner dans leurs villages sous l'oeil des pauvres et des victimes de 1/2 siecle de racisme, d'esclavage et de d'obscurantisme scial. Qualla nous aide. Rstons unis, constants et convaincant. Nous gagnerons le combat Incha allah; Ca sera pour bientot.
Keep going man.

Votre camarade Adama NGAIDE depuis New-York
President Section ADJ/MR New-York

2.Posté par bala le 25/06/2010 22:04
Voilà un homme politique qui dit ce qu'il fait et fait ce qu'il dit.Tout le monde connait à Nouadhibou la capacité d'organisation de TOM et a inculqué à ses militants le sens du devoir et du concret.
Un homme qui laisse à chacun sa liberté de choix et de conscience.Mais malheureusement les hommes d'action comme TOM sont souvent combattus au sein même de son parti.Mais l'homme n'en a cure.Il faut voir GLOBALEMENT ET AGIR LOCALEMENT disait l'autre, en tout cas Thiam Ousmane Moussa assure et rassure ses camarades par sa constance et sa clarté dans tous les compartiments du parti.Il nous dit souvent qu'être un militant, c'est participer à la construction d'un idéal qui ne peut se faire sans engagement et investissement personnels et dans l'humilité.
Nous restons confiants et nous ne désespérons jamais car le combat que que nous menons est noble et l'adversité nous fortifie.

YOO WUUR AJD/MR
YOO WUUR CATAL NUWAADIBU

HAA YEESO KO LAAWOL

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