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Le bureau exécutif de l'AVOMM

"L'important n'est pas ce qu'on fait de nous, mais ce que nous faisons nous-mêmes de ce qu'on a fait de nous." Jean-Paul Sartre

"L'Association d'aides aux veuves et aux orphelins de mauritanie (AVOMM) qui nous rassemble, a été créée le 25/12/95 à PARIS par d'ex-militaires mauritaniens ayant fui la terreur, l'oppression, la barbarie du colonel Mawiya o/ sid'ahmed Taya ......
Ces rescapés des geôles de ould Taya, et de l'arbitraire, décidèrent, pour ne jamais oublier ce qui leur est arrivé, pour garder aussi la mémoire des centaines de martyrs, de venir en aide aux veuves, aux orphelins mais aussi d'engager le combat contre l'impunité décrétée par le pouvoir de Mauritanie."
E-mail : avommavomm@yahoo.fr

Bureau exécutif

*Ousmane SARR, président
*Demba Niang, secrétaire général
*Secrétaire général Adjt; Demba Fall
*Alousseyni SY, Chargé des relations extérieures
*Mme Rougui Dia, trésorière
*Chargé de l’organisation Mariame Diop
*adjoint Ngolo Diarra
*Mme Mireille Hamelin, chargée de la communication
*Chargé de mission Bathily Amadou Birama
Conseillers:
*Kane Harouna
*Hamdou Rabby SY










AVOMM

19 avril 2009… il y a deux ans!


19 avril 2009… il y a deux ans!
Si Sidi était encore au pouvoir, cela aurait fait deux ans, jour pour jour qu’il a prêté serment. Le 19 avril 2007, au palais des congrès, en présence d’illustres personnalités du monde, le pouvoir passait des mains d’Ely Ould Mohamed Vall, un militaire ayant conduit, non sans tentation de rester, une transition de 19 mois, à celles de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, un civil élu dont il a été dit qu’il était le poulain des militaires mais élu à 53% en toute transparence du moins formellement.

Aujourd’hui, on est le 20 avril 2009 et Sidi est à Lemden. Loin de ce palais qui lui a été confié par la majorité des mauritaniens. Il y a huit mois que son mandat a été écourté. Le Conseil constitutionnel qui l’avait installé il y a deux ans s’est résolu à confier son pouvoir, il y a cinq jours à Bâ Mbaré.

Sous prétexte de vacance de pouvoir. Aux constitutionnalistes de juger de la normalité ou non d’une telle procédure. Mais notons pour notre part le caractère burlesque de ce qui nous est arrivé. Aux tout premiers jours du putsch, la position du président du Sénat n’avait pas encore été clarifiée.



Objet de suspicion à propos de sa gestion des fonds de la chambre haute du parlement, il a fini par commencer à en présider les assises. Très vite, les militaires ont préféré se taire sur son cas alors qu’ils s’en prenaient au Premier ministre de Sidi, Yahya Ould Waghf qui, bien entendu ne les a pas suivis…

Entre temps, le Président empêché, personne n’a pensé à constater la vacance de pouvoir ne serait-ce qu’en osant assimiler sa détention et son assignation à résidence à une situation d’incapacité forcée devant déboucher sur un intérim assuré par le Président du Sénat.

Au lieu de cela, l’on s’est énervé vite. Du côté des politiques et des défenseurs des droits humains, l’obsession était de faire échec au général. Celui-ci, fonçait…

Ceux qui comme le chef de file de l’opposition ont cru pouvoir compter sur lui vont déchanter. La crise est à son comble. Le Front et les Organisations de la Société civile donnent au général sans s’en rendre compte, les moyens de les diaboliser. Il s’emploie à prendre des décisions populistes : passif humanitaire, prix, boutiques du Ramadan, grâce pour des détenus de droit commun, visites, etc. Et au finish, une démission après avoir fait connaissance avec tout le reste de la Mauritanie. Histoire de pousser à se souvenir…

Et puis, on s’en va à des élections sur le reste du mandat de Sidi. Si ceci n’est pas un squat, c’est bien une ‘gazra’. Au fait c’est la même chose. Squatter ou ‘Gazzara’, Mbaré, Aziz, Sarr, Kane, et autres candidats à la magistrature suprême, c’est la place de Sidi qui est convoitée…

Lui-même était à la place de Maaouiya, squattée ou gazrée par le CMJD qui la lui a remise. Si on se met dans une logique des formes de la démocratie telles que l’on a préféré faire récemment avec cette histoire de démission du général et d’intérim de Bâ Mbaré.

Kissima

source : La Tribune
Lundi 20 Avril 2009 - 23:13
Lundi 20 Avril 2009 - 23:16
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1.Posté par XMANDIALLO le 21/04/2009 15:46
Si Sidi vous avez écrit , mais c'est du passé , la page est tourné, cherchons d'autres solutions mais pas Sidi de grace qu'il reste là ou il devrait être. Sidi aussi avait squaté, il n'avzit aucune base politique, personne ne connaissait Sidi, il n'a jamais participé à nos combats politiques, il était absent , il ne s'intétessait pas à nos problèmes, il était rien du tout si les militaires ne l'avaient pas imposé au peuple sans défense que nous sommes. Donc arrêtez de nous décrire Sidi comme victime, alors c'est ahmed Daddah devenu traitre aujourd'hui qui était victime pour le 3ème fois dans l'histoire des élections Mauritaniennes.
Non au retour de SIDI l'incapble qui était mentionnait lors de notre dernière manifestion à trocadéro qui se répétera le 25 Avri 2009. NOUS NE SOMMES PAS AMNESIQUES.

2.Posté par diol séne le 23/04/2009 15:10
Pourquoi vous haissez tant le seul PRESIDENT DEMOCRATIQUEMENT ELU q'u a connu la MAURITANIE.Arretze de dire que personne ne connaissait SIDI O/ CHEIKH ABDELLAHI,il fut MINISTRE,FONTIONNAIRE INTERNATIONAL et je le répete tout le monde le connait .Peut- etre que vous ne le portez pas dans votre coueur,ce qui est votre droit,mais il estrés connu,respectueux et réspectable.C'est un sage.

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