
Trente deux (32) parlementaires mauritaniens sur 151 ont décidé de boycotter la session extraordinaire du Parlement, convoquée pour mercredi à 18 heures par le président du Haut conseil d’Etat, au pouvoir à Nouakchott, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, a constaté APA à Nouakchott.
Nous « déclarons que nous ne prendrons pas part aux travaux de cette session dépourvue de tout fondement légal », ont annoncé ces parlementaires dans un communiqué, justifiant une telle position par leur fidélité à la « légalité qu’incarnent la Constitution de la République Islamique de Mauritanie et le règlement intérieur de l’Assemblée nationale et du Sénat ».
Les boycotteurs considèrent que ladite session a été « indûment convoquée » par une « autorité sans aucune compétence légale », estimant que le président de l’Assemblée nationale, Messaoud Ould Boulkheir, a « démontré d’une manière irréfutable » son « illégalité » et sa « nullité ».
Ils ont aussi demandé à leurs « collègues parlementaires » de la boycotter et de « s’attacher aux règlements et lois en vigueur dans la République Islamique de Mauritanie, notamment la Constitution et le règlement intérieur de l’Assemblée nationale et du Sénat ».
L’ordre du jour de la session extraordinaire comprend l’examen de « la situation née du blocage institutionnel ayant conduit au changement du 06 août 2008 », « les règlements de l’Assemblée nationale », «l’élection des membres de la Haute Cour de Justice » et « une proposition de la loi relative à la protection du consommateur ».
Il inclut également l’examen de « la création d’une Commission de contrôle parlementaire (par l’Assemblée Nationale) du Plan Spécial d’Intervention » axé sur la lutte contre la cherté de la vie, « la création d’une Commission d’enquête parlementaire (par le Sénat) pour faire la lumière sur la gestion et les modes de financement de la Fondation Khattou Mint El Boukhary» (épouse du président déchu).
« La création d’une commission de contrôle parlementaire (par le Sénat) de la gestion financière et administrative du Sénat » figure également à l’ordre du jour de la session parlementaire.
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Source: APA
(M) avomm
Nous « déclarons que nous ne prendrons pas part aux travaux de cette session dépourvue de tout fondement légal », ont annoncé ces parlementaires dans un communiqué, justifiant une telle position par leur fidélité à la « légalité qu’incarnent la Constitution de la République Islamique de Mauritanie et le règlement intérieur de l’Assemblée nationale et du Sénat ».
Les boycotteurs considèrent que ladite session a été « indûment convoquée » par une « autorité sans aucune compétence légale », estimant que le président de l’Assemblée nationale, Messaoud Ould Boulkheir, a « démontré d’une manière irréfutable » son « illégalité » et sa « nullité ».
Ils ont aussi demandé à leurs « collègues parlementaires » de la boycotter et de « s’attacher aux règlements et lois en vigueur dans la République Islamique de Mauritanie, notamment la Constitution et le règlement intérieur de l’Assemblée nationale et du Sénat ».
L’ordre du jour de la session extraordinaire comprend l’examen de « la situation née du blocage institutionnel ayant conduit au changement du 06 août 2008 », « les règlements de l’Assemblée nationale », «l’élection des membres de la Haute Cour de Justice » et « une proposition de la loi relative à la protection du consommateur ».
Il inclut également l’examen de « la création d’une Commission de contrôle parlementaire (par l’Assemblée Nationale) du Plan Spécial d’Intervention » axé sur la lutte contre la cherté de la vie, « la création d’une Commission d’enquête parlementaire (par le Sénat) pour faire la lumière sur la gestion et les modes de financement de la Fondation Khattou Mint El Boukhary» (épouse du président déchu).
« La création d’une commission de contrôle parlementaire (par le Sénat) de la gestion financière et administrative du Sénat » figure également à l’ordre du jour de la session parlementaire.
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Source: APA
(M) avomm