
Déclaration
Suite à l’agression barbare dont a été victime le Secrétaire Général de la CLTM Samory Ould Beye et amené manu militari avec d’autres syndicalistes au commissariat du 4ème arrondissement ; les autorités usurpatrices dévoilent ainsi leur mépris contre la démocratie et les institutions légales.
Le bureau exécutif de la CLTM condamne avec force et indignation cet ignoble acte perpétré par les sbires d’un pouvoir illégal aux abois contre des syndicalistes qui s’évertuaient à préparer paisiblement la tenue d’un meeting organisé par les centrales syndicales pourtant autorisé.
Face à cette situation, la CLTM dénonce avec vigueur les confiscations des libertés et réitère son attachement indéfectible à la légalité constitutionnelle seule garante de la stabilité et de la paix sociale.
Appelle les organisations syndicales internationales dont notamment le BIT CSI CSI-Afrique, le CES et les autres organisations internationales à dénoncer ces pratiques antidémocratiques et de mener la pression sur la junte militaire en vue de revenir à la légalité constitutionnelle.
Le Bureau Exécutif
Nouakchott, le 20/ 08/ 08
Suite à l’agression barbare dont a été victime le Secrétaire Général de la CLTM Samory Ould Beye et amené manu militari avec d’autres syndicalistes au commissariat du 4ème arrondissement ; les autorités usurpatrices dévoilent ainsi leur mépris contre la démocratie et les institutions légales.
Le bureau exécutif de la CLTM condamne avec force et indignation cet ignoble acte perpétré par les sbires d’un pouvoir illégal aux abois contre des syndicalistes qui s’évertuaient à préparer paisiblement la tenue d’un meeting organisé par les centrales syndicales pourtant autorisé.
Face à cette situation, la CLTM dénonce avec vigueur les confiscations des libertés et réitère son attachement indéfectible à la légalité constitutionnelle seule garante de la stabilité et de la paix sociale.
Appelle les organisations syndicales internationales dont notamment le BIT CSI CSI-Afrique, le CES et les autres organisations internationales à dénoncer ces pratiques antidémocratiques et de mener la pression sur la junte militaire en vue de revenir à la légalité constitutionnelle.
Le Bureau Exécutif
Nouakchott, le 20/ 08/ 08