
PARIS — Deux gendarmes français, blessés samedi à Nouakchott dans un attentat-suicide commis près de l'ambassade de France en Mauritanie, ont été rapatriés mardi à Paris, a annoncé le secrétariat d'Etat à la Coopération.
Les deux hommes, qui ont été accueillis mardi matin à l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle par le secrétaire d'Etat à la Coopération Alain Joyandet, ont ensuite été admis à l'hôpital militaire Percy, à Clamart (Hauts-de-Seine), a-t-on précisé.
En les accueillant, Alain Joyandet a réitéré "la détermination de la France à lutter contre le terrorisme aux côtés des autorités et du peuple mauritanien, et sa solidarité à l'égard de toutes les victimes du terrorisme", selon ses services.
Un jeune homme s'était fait exploser samedi soir près de la représentation française dans la capitale mauritanienne, au moment où les deux gendarmes terminaient leur jogging. Ils ont été légèrement blessés par des éclats et par le souffle de l'explosion. Il s'agissait du premier attentat-suicide jamais commis en Mauritanie.
Copyright © 2009 AFP.
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Les deux hommes, qui ont été accueillis mardi matin à l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle par le secrétaire d'Etat à la Coopération Alain Joyandet, ont ensuite été admis à l'hôpital militaire Percy, à Clamart (Hauts-de-Seine), a-t-on précisé.
En les accueillant, Alain Joyandet a réitéré "la détermination de la France à lutter contre le terrorisme aux côtés des autorités et du peuple mauritanien, et sa solidarité à l'égard de toutes les victimes du terrorisme", selon ses services.
Un jeune homme s'était fait exploser samedi soir près de la représentation française dans la capitale mauritanienne, au moment où les deux gendarmes terminaient leur jogging. Ils ont été légèrement blessés par des éclats et par le souffle de l'explosion. Il s'agissait du premier attentat-suicide jamais commis en Mauritanie.
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