Les sites Internet relayent, depuis hier, une information selon laquelle le Conseil des putschistes a présenté à la Communauté internationale des soit disant propositions faisant état de la disposition du général Mohamed Ould Abdel Aziz à démissionner quarante cinq jours avant ce que la junte appelle « des élections présidentielles ».
A cet égard, la Commission de Communication tient à réaffirmer, ce qui suit, aussi bien à la l’opinion nationale et internationale :
Ces propositions constituent, dans le fait, un nouveau mépris tant pour la Constitution du pays, que la légalité nationale et internationale. Elles n’apportent en réalité rien de nouveau. Bien au contraire, c’est une phase tout à fait attendue, de l’agenda des auteurs du coup d’Etat-réaction.
Ces propositions sont une nouvelle tentative désespérée d’un régime agonisant, s’évertuant à légitimer un pouvoir vomi à l’intérieur et rejeté à l’extérieur et dont les responsables tentent de vendre « des illusions » à la communauté internationale pour se soustraire à la crise dans laquelle ils ont entraîné le pays.
Le pays est entré dans une phase dangereuse, après six mois de gestion anarchique des affaires publiques, ayant affecté toutes les valeurs et pratiques républicaines et sociales et mis l’économie nationale au bord de l’effondrement.
La seule sortie de crise possible aujourd’hui envisageable réside dans l’initiative patriotique et crédible, lancée par le Président de la République, son Excellence Sidi Mohamed Ould Cheïkh Abdallahi.
En effet la mise en échec du coup d’Etat est une condition sine qua non pour tout dialogue digne de ce nom ; sans cela le putsch risque d’être consacré et le pays de continuer – qu’à Dieu ne plaise- se précipiter vers l’abîme.
Nouakchott, le 18 février 2009
La Commission de communication
source : FNDD-RIM
A cet égard, la Commission de Communication tient à réaffirmer, ce qui suit, aussi bien à la l’opinion nationale et internationale :
Ces propositions constituent, dans le fait, un nouveau mépris tant pour la Constitution du pays, que la légalité nationale et internationale. Elles n’apportent en réalité rien de nouveau. Bien au contraire, c’est une phase tout à fait attendue, de l’agenda des auteurs du coup d’Etat-réaction.
Ces propositions sont une nouvelle tentative désespérée d’un régime agonisant, s’évertuant à légitimer un pouvoir vomi à l’intérieur et rejeté à l’extérieur et dont les responsables tentent de vendre « des illusions » à la communauté internationale pour se soustraire à la crise dans laquelle ils ont entraîné le pays.
Le pays est entré dans une phase dangereuse, après six mois de gestion anarchique des affaires publiques, ayant affecté toutes les valeurs et pratiques républicaines et sociales et mis l’économie nationale au bord de l’effondrement.
La seule sortie de crise possible aujourd’hui envisageable réside dans l’initiative patriotique et crédible, lancée par le Président de la République, son Excellence Sidi Mohamed Ould Cheïkh Abdallahi.
En effet la mise en échec du coup d’Etat est une condition sine qua non pour tout dialogue digne de ce nom ; sans cela le putsch risque d’être consacré et le pays de continuer – qu’à Dieu ne plaise- se précipiter vers l’abîme.
Nouakchott, le 18 février 2009
La Commission de communication
source : FNDD-RIM