Ibrahima Moctar Sarr, pas satisfait du règlement du passif humanitaire en Mauritanie.

Ce mérite il faut être malhonnête pour ne pas te le reconnaître. Cependant comment devant une probabilité assez forte que le Général gagne vous soyez parmi ceux qui l'auront aidé à avaliser son forfait. SARR c'est ce qui nous inquiète. Nous ne comprenons pas. La Mauritanie est arrivée à un seuil où ce ne sera pas avec la ruse et des tactiques de politique politiciennes que nous nous en sortirons. Après le passif récent, le grand passif avec toutes ses séquelles viendra vous dire me voici : Il n y a que du passif dans ce pays. Nombres de procès iniques à résoudre, Lois criminalisant l'esclavage non promulguée. A quoi nous jouons ? La victime sait ce qu'il a vécut, la victime sait ce qu'il a enduré, la victime vit les séquelles des forfaits de ses bourreaux vous le savez SARR comme vous le dite vous même. Et bien il est grand temps que la victime prenne sa destinée en main et panse ses maux. Prendre sa destiné entre les mains, la communauté des victimes ne peut la faire, la réaliser qu’en étant consciente de sa force et surtout soudée, pas divisée. La victime, les victimes vous les connaissez et son combat, leur combat est dans la prise de conscience de leur drame leur déchirure, leur division. Il n y a pas deux combats pour les passifs il n y a qu'un combat contre les Passifs ils ne sont pas à décoreller ils sont étroitement lié car c'est peut-être, ce qui permis la persistance du PASSIF séculaire, qui a permis l'existence du PASSIF récent. La Mauritanie est malade de deux états d’esprit l’art de diaboliser du maure blanc et l’état de victimisation dont est l’objet le noir pour en sortir il est grand temps que nous sortions du système hypocrite avec lequel le pays a été et est encore géré.
Consciente et unie la communauté vaincra et par conséquent la Mauritanie toute entière aussi.
Djibril BA