
L'ex-chef de la junte au pouvoir en Mauritanie depuis le coup d'Etat du 6 août, le général Mohamed Ould Abdel Aziz, a accusé vendredi l'opposition de "bloquer la démocratie", tout en affirmant qu'il était prêt à des concessions dans l'interêt de son peuple.
"Ces gens, ce sont eux qui bloquent la démocratie, nous sommes prêts à négocier alors que eux ne le sont pas", a-t-il accusé au cours du premier discours de campagne prononcé vendredi à Kiffa (centre) en vue de l'élection présidentielle du 6 juin, boycottée par les partis anti-putsch.
"Nous sommes prêts à faire des concessions en faveur du peuple mauritanien, mais ils préfèrent les blocages", a affirmé le général qui a démissionné de ses fonctions le 16 avril pour se porter candidat au scrutin du 6 juin.
Il a encore une fois accusé ses adversaires politiques de "chercher à imposer un embargo contre leur pays et à oeuvrer pour l'affamer", estimant qu'ils ne "représentent rien" et appelant le peuple à aller aux urnes pour "un taux de participation élevé".
Source: AFP
"Ces gens, ce sont eux qui bloquent la démocratie, nous sommes prêts à négocier alors que eux ne le sont pas", a-t-il accusé au cours du premier discours de campagne prononcé vendredi à Kiffa (centre) en vue de l'élection présidentielle du 6 juin, boycottée par les partis anti-putsch.
"Nous sommes prêts à faire des concessions en faveur du peuple mauritanien, mais ils préfèrent les blocages", a affirmé le général qui a démissionné de ses fonctions le 16 avril pour se porter candidat au scrutin du 6 juin.
Il a encore une fois accusé ses adversaires politiques de "chercher à imposer un embargo contre leur pays et à oeuvrer pour l'affamer", estimant qu'ils ne "représentent rien" et appelant le peuple à aller aux urnes pour "un taux de participation élevé".
Source: AFP