Pour bâtir la Mauritanie, il n’est pas tard pour bien faire mais il est impératif d’organiser un débat national avec méthode et promesse d’être confiant en notre génie et notre générosité humaine en tant que mauritaniens. L’impératif est aussi l’exigence d’intégrer toutes les questions agaçantes avec la participation de tous et dans un esprit de responsabilité pour une refondation de l’Etat. Tant que nous n’aurons pas (Politiques, intellectuels, politiciens, arabes, haratines, Soninkes et autres....) le courage de faire un débat frontal ou nous égrènerons "pièce par pièce" les vraies questions, nous n’irons que vers la faillite.
Les mauritaniens ont souffert et la Mauritanie fait face à des problèmes complexes, énormes générés par la violence dont l’élite politique a fait usage pendant 21 ans. C’est cette violence illégitime (basée sur la race, l’humiliation des autres, etc.) qui a exacerbé les «incertitudes» et qui a rendu possible l’implosion du système matérialisé par le cycle infernal de coups d’état ou de mise en scène. Nous ferons l’économie sur l’échec de la politique dite de démocratisation et sur la politique de dialogue processuel et consensuel, toutes 2 décidées «par le haut», qui sont autant d’impairs et d’approximations qui ont, d’une manière ou d’une autre, contribuées à la situation paradoxale pilotée par un HCE que ne doit son accession au pouvoir que par la crédulité de la majorité écrasante de la classe politique.
Il y’a aussi un autre impératif voire une autre exigence, celle-là est vieille : Nous exigeons que nos leaders, ceux que nous avons choisis, que ces derniers soient écoutés par les gouvernants. Nos leaders ne sont pas ceux qui, drapés dans leurs boubous, prétendent représentés les victimes mauritaniennes de plus de deux décennies de despotisme et de 48 ans d’inégalités et de brimades.
Ces faux leaders ne représentent que leurs intérêts égoïstes et ceux de leurs rejetons. Ils n’ont de soucis que pérenniser leurs ambitions féodales qui sont a l’origine de l’enracinement de la dictature dans les campagnes et les villages. Ces faux leaders, nous les reconnaissons à leurs alliances contre nature et à leurs ralliements à tous les régimes dont le dernier courtisé est le HCE. Ils n’existent et ne s’activent que pour capter les subsides et pour conserver leurs privilèges. On les reconnait par leurs voitures rutilantes, leurs villas coquettes et leurs comptes bourrés d’argent leur permettant de distribuer des prébendes aux courtisans et troubadours, cherchant vainement, à détourner le verdict des victimes de la vallée qui se retrouvent dans la ligne politique de l’AJD/MR.
Ces faux représentants ne cherchent qu’à protéger des biens et des ressources volés aux mauritaniens. Le combat pour la paix entre mauritaniens, la justice et l’Equité, ils n’en ont cure. Tous les régimes les connaissent et toutes les victimes mauritaniennes de 21 ans de despotisme les connaissent. A cote de ces faux leaders, nous avons les faux opposants. Forts en duplicité, ils ont opté pour les actions extrapolitiques. Impopulaires et en mal, de programme politique à portée nationale, ils se sont ancrés dans les tromperies et les théories séduisantes du multipartisme pour tromper les populations.
Subséquemment si le HCE opte pour une vraie dynamique politique et démocratique, il a intérêt d’abord à prendre langue avec les vrais représentants des mauritaniens et non pas avec les voleurs du trésor public et les prêcheurs de faux. L’AJD/MR est une INCARNATION vivante des revendications légitime des mauritaniens victimes de 48 de brimades.
Ibrahima Moktar SARR et ses camarades ont aujourd’hui, en dehors de tout opportunisme et amateurisme, démontrés leur attachement à une Mauritanie plurielle et aux valeurs universelles de Justice, d’Equité et Droit par lesquelles et pour lesquelles l’AJD/MR se bat.
Nous sommes de celles et ceux qui pensent que c’est au cours de la transition que tout se joue. C’est dans la transition que se joue l’avenir de notre pays si, bien sur, les auteurs en sont convaincus et conscients. HCE et CMJD c’est du Kif-kif des l’instant que les questions prioritaires sont ignorées et banalisées. Dire que certaines questions ne doivent être à l’ordre du jour c’est, à notre humble avis, LE MEILLEUR MOYEN ENCORE ET ENCORE de ramener à la case de départ et au cycle infernal de crises et de violences.
Le type de pays que nous voulons, c’est à nous de l’arrêter par le débat et non pas par un jeu de cache-cache. Que l’élite gouvernante le sache !!!! Elle doit arrêter son feuilleton qui a commencé depuis Aout 2005 avec Ely. Et que l’opposition le sache !!!!!SIDIOCA n’était qu’un élément du puzzle recruté pour tenter un bricolage. Le BRICOLAGE n’a pas tenu !!!!!Et heureusement qu’il y’ a encore des Hommes Politiques INCREDULES et avertis de la trempe de Ibrahima Moktar SARR qui surveillent bien le fameux GAME POLITIQUE qui n’est qu’un véritable miroir aux alouettes qui a commencé avec la transition unidirectionnelle de Ely Ould VALL. C’est d’ailleurs pourquoi la «PRISE D’ACTE» courageuse de la mise en scène d’Aout 2008 correspond, dans le contexte mauritanien, à une prise de position politique LUCIDE et CONSEQUENTE.
Encore une fois, les préalables nécessaires à l’édification de notre Etat de Droit, se préparent durant la phase transitoire. A nous de nous donner les moyens nécessaires a édifier notre Etat de Droit. Les partis politiques sérieux ont des REVENDICATIONS LEGITIMES et à intérêt national. Le HCE doit les écouter. L’élite doit reconnaitre ses erreurs et il est, en outre, essentiel d’éviter de circonscrire la transition à la rédaction d‘une constitution. Cette vision des choses nous ramenerait encore à la case de départ avec une constitution «européanisante» servilement parachutée et qui serait en déconnection totale avec les fondamentaux liés de la construction d’un pays africain et arabe en Mauritanie.
Dans la même veine, nous pensons qu’il est des questions négociables et des questions qui ne le sont. Nous restons très insatisfaits voire outrés par certains actes, certaines lenteurs et signaux dont le propre est de contrarier la résolution des problèmes soulevés par les victimes noires.
Nous évoquons le problème des passifs, pour reaffirmer notre choix irréversible d’accompagner toute réforme par l’usage de l’arme de la justice et de la vérité. Nous ne devons absolument pas lésiner à dire ce qui nous semble être la meilleure démarche pour servir l’idéal politique qui voudrait que nos communautes coexistent dans le respect mutuel et non pas dans une volonté, devenue constante, de vouloir dominer injustement en abusant des Hommes (par racisme, esclavage ou feodalite) ; ou par un détournement des institutions de leur rôle régalien qui fait qu’aujourd’hui, des intellectuels qui se disent socialement des « exemples », se sont appropriés des richesses énormes réussissant à enfoncer une majorité de mauritaniens dans une misère totale. Aujourd’hui encore la conséquence est qu’ils se sont distancés des réalités parce qu’ils la trouvent pas en phase avec leurs interets mesquins. Ils ne sortent qu’a lendemain de coups d’Etat «réussis» pour inonder les rues, défiler, et applaudir pour leurs nouveaux maitres. De véritables calamités qui ont fait le necessaire pour consolider la dictature, le racisme, l'esclavage, le clientélisme et le népotisme. Ce sont ces intellectuels qui ont réussi la politique du «panachage», Ils ont encouragé 21 ans de politiques racistes et féodales et de déséquilibre dans le développement économique entre les régions.
Quiconque cherche la réussite de la transition par la (RE) rédaction de beaux textes ou la banalisation des passifs fera choux blanc. Pour redresser la Mauritanie unitaire il faut absolument refuser de jeter un voile pudique sur les actes racistes et ethnicistes exécutés par les régimes racistes qui se sont succédés depuis notre accession à la souveraineté internationale. Rectifier les injustices au niveau humain et Institutionnel, seul gage d'une Mauritanie unitaire et multinationale.
Qu’Allah nous vienne en aide.
Adama NGAIDE
Etats-Unis d’Amérique
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Source: ajd/mr
(M) avomm
Les mauritaniens ont souffert et la Mauritanie fait face à des problèmes complexes, énormes générés par la violence dont l’élite politique a fait usage pendant 21 ans. C’est cette violence illégitime (basée sur la race, l’humiliation des autres, etc.) qui a exacerbé les «incertitudes» et qui a rendu possible l’implosion du système matérialisé par le cycle infernal de coups d’état ou de mise en scène. Nous ferons l’économie sur l’échec de la politique dite de démocratisation et sur la politique de dialogue processuel et consensuel, toutes 2 décidées «par le haut», qui sont autant d’impairs et d’approximations qui ont, d’une manière ou d’une autre, contribuées à la situation paradoxale pilotée par un HCE que ne doit son accession au pouvoir que par la crédulité de la majorité écrasante de la classe politique.
Il y’a aussi un autre impératif voire une autre exigence, celle-là est vieille : Nous exigeons que nos leaders, ceux que nous avons choisis, que ces derniers soient écoutés par les gouvernants. Nos leaders ne sont pas ceux qui, drapés dans leurs boubous, prétendent représentés les victimes mauritaniennes de plus de deux décennies de despotisme et de 48 ans d’inégalités et de brimades.
Ces faux leaders ne représentent que leurs intérêts égoïstes et ceux de leurs rejetons. Ils n’ont de soucis que pérenniser leurs ambitions féodales qui sont a l’origine de l’enracinement de la dictature dans les campagnes et les villages. Ces faux leaders, nous les reconnaissons à leurs alliances contre nature et à leurs ralliements à tous les régimes dont le dernier courtisé est le HCE. Ils n’existent et ne s’activent que pour capter les subsides et pour conserver leurs privilèges. On les reconnait par leurs voitures rutilantes, leurs villas coquettes et leurs comptes bourrés d’argent leur permettant de distribuer des prébendes aux courtisans et troubadours, cherchant vainement, à détourner le verdict des victimes de la vallée qui se retrouvent dans la ligne politique de l’AJD/MR.
Ces faux représentants ne cherchent qu’à protéger des biens et des ressources volés aux mauritaniens. Le combat pour la paix entre mauritaniens, la justice et l’Equité, ils n’en ont cure. Tous les régimes les connaissent et toutes les victimes mauritaniennes de 21 ans de despotisme les connaissent. A cote de ces faux leaders, nous avons les faux opposants. Forts en duplicité, ils ont opté pour les actions extrapolitiques. Impopulaires et en mal, de programme politique à portée nationale, ils se sont ancrés dans les tromperies et les théories séduisantes du multipartisme pour tromper les populations.
Subséquemment si le HCE opte pour une vraie dynamique politique et démocratique, il a intérêt d’abord à prendre langue avec les vrais représentants des mauritaniens et non pas avec les voleurs du trésor public et les prêcheurs de faux. L’AJD/MR est une INCARNATION vivante des revendications légitime des mauritaniens victimes de 48 de brimades.
Ibrahima Moktar SARR et ses camarades ont aujourd’hui, en dehors de tout opportunisme et amateurisme, démontrés leur attachement à une Mauritanie plurielle et aux valeurs universelles de Justice, d’Equité et Droit par lesquelles et pour lesquelles l’AJD/MR se bat.
Nous sommes de celles et ceux qui pensent que c’est au cours de la transition que tout se joue. C’est dans la transition que se joue l’avenir de notre pays si, bien sur, les auteurs en sont convaincus et conscients. HCE et CMJD c’est du Kif-kif des l’instant que les questions prioritaires sont ignorées et banalisées. Dire que certaines questions ne doivent être à l’ordre du jour c’est, à notre humble avis, LE MEILLEUR MOYEN ENCORE ET ENCORE de ramener à la case de départ et au cycle infernal de crises et de violences.
Le type de pays que nous voulons, c’est à nous de l’arrêter par le débat et non pas par un jeu de cache-cache. Que l’élite gouvernante le sache !!!! Elle doit arrêter son feuilleton qui a commencé depuis Aout 2005 avec Ely. Et que l’opposition le sache !!!!!SIDIOCA n’était qu’un élément du puzzle recruté pour tenter un bricolage. Le BRICOLAGE n’a pas tenu !!!!!Et heureusement qu’il y’ a encore des Hommes Politiques INCREDULES et avertis de la trempe de Ibrahima Moktar SARR qui surveillent bien le fameux GAME POLITIQUE qui n’est qu’un véritable miroir aux alouettes qui a commencé avec la transition unidirectionnelle de Ely Ould VALL. C’est d’ailleurs pourquoi la «PRISE D’ACTE» courageuse de la mise en scène d’Aout 2008 correspond, dans le contexte mauritanien, à une prise de position politique LUCIDE et CONSEQUENTE.
Encore une fois, les préalables nécessaires à l’édification de notre Etat de Droit, se préparent durant la phase transitoire. A nous de nous donner les moyens nécessaires a édifier notre Etat de Droit. Les partis politiques sérieux ont des REVENDICATIONS LEGITIMES et à intérêt national. Le HCE doit les écouter. L’élite doit reconnaitre ses erreurs et il est, en outre, essentiel d’éviter de circonscrire la transition à la rédaction d‘une constitution. Cette vision des choses nous ramenerait encore à la case de départ avec une constitution «européanisante» servilement parachutée et qui serait en déconnection totale avec les fondamentaux liés de la construction d’un pays africain et arabe en Mauritanie.
Dans la même veine, nous pensons qu’il est des questions négociables et des questions qui ne le sont. Nous restons très insatisfaits voire outrés par certains actes, certaines lenteurs et signaux dont le propre est de contrarier la résolution des problèmes soulevés par les victimes noires.
Nous évoquons le problème des passifs, pour reaffirmer notre choix irréversible d’accompagner toute réforme par l’usage de l’arme de la justice et de la vérité. Nous ne devons absolument pas lésiner à dire ce qui nous semble être la meilleure démarche pour servir l’idéal politique qui voudrait que nos communautes coexistent dans le respect mutuel et non pas dans une volonté, devenue constante, de vouloir dominer injustement en abusant des Hommes (par racisme, esclavage ou feodalite) ; ou par un détournement des institutions de leur rôle régalien qui fait qu’aujourd’hui, des intellectuels qui se disent socialement des « exemples », se sont appropriés des richesses énormes réussissant à enfoncer une majorité de mauritaniens dans une misère totale. Aujourd’hui encore la conséquence est qu’ils se sont distancés des réalités parce qu’ils la trouvent pas en phase avec leurs interets mesquins. Ils ne sortent qu’a lendemain de coups d’Etat «réussis» pour inonder les rues, défiler, et applaudir pour leurs nouveaux maitres. De véritables calamités qui ont fait le necessaire pour consolider la dictature, le racisme, l'esclavage, le clientélisme et le népotisme. Ce sont ces intellectuels qui ont réussi la politique du «panachage», Ils ont encouragé 21 ans de politiques racistes et féodales et de déséquilibre dans le développement économique entre les régions.
Quiconque cherche la réussite de la transition par la (RE) rédaction de beaux textes ou la banalisation des passifs fera choux blanc. Pour redresser la Mauritanie unitaire il faut absolument refuser de jeter un voile pudique sur les actes racistes et ethnicistes exécutés par les régimes racistes qui se sont succédés depuis notre accession à la souveraineté internationale. Rectifier les injustices au niveau humain et Institutionnel, seul gage d'une Mauritanie unitaire et multinationale.
Qu’Allah nous vienne en aide.
Adama NGAIDE
Etats-Unis d’Amérique
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Source: ajd/mr
(M) avomm