
Cotonou (Bénin) : Le gouvernement béninois a condamné avec vigueur, ce vendredi le coup d’Etat intervenu, le mercredi dernier, en Mauritanie, a appris APA, de source officielle à Cotonou.
« Le gouvernement béninois s’associe pleinement à la voix de l’Union Africaine pour condamner avec vigueur cet acte qui constitue une régression de la démocratie sur le continent africain », indique un communiqué gouvernemental.
Selon ce document publié ce jour même à Cotonou, le Bénin avait salué le processus démocratique en cours dans ce pays et qui a conduit à des élections libres et transparentes. «Pour le Bénin, il s’agit d’une question de principe que rien ne peut altérer : le pouvoir politique ne peut se conquérir par d’autres moyens que par des consultations démocratiques », ajoute la même source, précisant la disponibilité du Bénin pour le retour à la légalité constitutionnelle en Mauritanie.
« Le Bénin est disposé à oeuvrer de concert avec la communauté internationale en vue d’un retour à la légalité constitutionnelle dans ce pays frère », indique le même document.
Le chef de l’Etat mauritanien, Sidi Mouhamed Ould Abdalahi, élu démocratiquement en avril 2007, avait limogé mercredi matin plusieurs officiers supérieurs dont son chef d’état major, le général Abdel Aziz, investigateur du coup de force.
Ce coup de force, survenu mercredi en Mauritanie est consécutif à une série de crises qui ont secoué la vie socio-politique du pays au cours de ces deux derniers mois, a-t-on indiqué.
Le chef de l’Etat mauritanien, Sidi Mouhamed Ould Abdalahi, élu démocratiquement en avril 2007, a été renversé mercredi par un groupe d’officiers qu’il avait limogés plus tôt dans la matinée, et parmi lesquels son chef d’état major, le général Abdel Aziz, artisan du coup de force.
Ces officiers, anciens membres du Conseil militaire pour la justice et la démocratie (CMJD), étaient soupçonnés de soutenir un groupe de 25 députés et 23 sénateurs qui avaient démissionné la veille, du parti présidentiel, en l’occurrence, le Pacte national pour la démocratie et le développement.
Le coup d’Etat survenu mercredi en Mauritanie est consécutif à une série de crises qui ont secoué la vie socio-politique du pays au cours de ces deux derniers mois.
source : Agence de Presse Africaine
« Le gouvernement béninois s’associe pleinement à la voix de l’Union Africaine pour condamner avec vigueur cet acte qui constitue une régression de la démocratie sur le continent africain », indique un communiqué gouvernemental.
Selon ce document publié ce jour même à Cotonou, le Bénin avait salué le processus démocratique en cours dans ce pays et qui a conduit à des élections libres et transparentes. «Pour le Bénin, il s’agit d’une question de principe que rien ne peut altérer : le pouvoir politique ne peut se conquérir par d’autres moyens que par des consultations démocratiques », ajoute la même source, précisant la disponibilité du Bénin pour le retour à la légalité constitutionnelle en Mauritanie.
« Le Bénin est disposé à oeuvrer de concert avec la communauté internationale en vue d’un retour à la légalité constitutionnelle dans ce pays frère », indique le même document.
Le chef de l’Etat mauritanien, Sidi Mouhamed Ould Abdalahi, élu démocratiquement en avril 2007, avait limogé mercredi matin plusieurs officiers supérieurs dont son chef d’état major, le général Abdel Aziz, investigateur du coup de force.
Ce coup de force, survenu mercredi en Mauritanie est consécutif à une série de crises qui ont secoué la vie socio-politique du pays au cours de ces deux derniers mois, a-t-on indiqué.
Le chef de l’Etat mauritanien, Sidi Mouhamed Ould Abdalahi, élu démocratiquement en avril 2007, a été renversé mercredi par un groupe d’officiers qu’il avait limogés plus tôt dans la matinée, et parmi lesquels son chef d’état major, le général Abdel Aziz, artisan du coup de force.
Ces officiers, anciens membres du Conseil militaire pour la justice et la démocratie (CMJD), étaient soupçonnés de soutenir un groupe de 25 députés et 23 sénateurs qui avaient démissionné la veille, du parti présidentiel, en l’occurrence, le Pacte national pour la démocratie et le développement.
Le coup d’Etat survenu mercredi en Mauritanie est consécutif à une série de crises qui ont secoué la vie socio-politique du pays au cours de ces deux derniers mois.
source : Agence de Presse Africaine