Le Président de l'Assemblée Nationale, Monsieur Messaoud Ould Boulkheir, quitte Nouakchott ce soir en direction de la capitale éthiopienne où se déroulent les travaux des instances de l'Union Africaine. Il sera accompagné des Députés Moustapha Ould Bedre Eddine et El khalil Ould Teyeb. Les trois personnalités du Front se joindront au reste de la délégation déjà su place et composé de MM. le Ministre Sidi Mohamed Ould Emejar, le Conseiller diplomatique du Président de la république, Sidney Sokhona et son Représentant Spécial au près de l'Union Africaine, Mohamed Abdellahi Ould Bebana. A l'agenda du Président de l'Assemblée plusieurs rencontre du plus haut niveau au moment où les autres membres de la délégation du Front s'emploieront à présenter aux autres délégations la situation au pays et notamment l'initiative du Président de la République.
La tâche de cette importante délégation est facilité par la très grande adhésion de la Communauté Internationale et notamment des membres de l'Union Africaine à la lutte des Mauritaniens pour recouvrer leur institutions républicaines mises à mal par le Coup d'Etat du 6 août 2008.
Cette adhésion s'est manifestée en des termes claires et fermes dans le Communiqué paru à l'issue de la réunion de coordination des organisations partenaires de la Mauritanie tenue mercredi en marge du Sommet de l'Union Africaine.
Rejet de l'agenda de la Junte, prise en compte de l'initiative du Président de la République, injonction faite à la Junte de cesser le harcèlement dont le Président est l'objet et d'assurer sa sécurité et sa liberté d'expression et de mouvement, tels sont les nouveaux points mis en évidence dans ce Communiqué.
Il faut cependant préciser que ce groupe est une instance de coordination entre différentes organisations (la Ligue des Etats Arabes, les Nations Unies, l'Organisation de la Conférence Islamique (OIC), l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), l'Union Européenne (UE) et l'Union Européenne (UE)). Ce n'est pas le lieu de prise de décisions. Les décisions sont prises au niveau de chacune des organisations suivant les modalités propres à chacune d'entre elles.
Pour ce qui concerne la Mauritanie, des décisions sont attendue au sein de trois institutions: l'Union Africaine, l'Union Européenne et l'ONU.
A Addis Abeba, l'Union Africaine a deux échéances importantes dans les jours qui viennent.
Entre le premier et le trois février se tient la Conférence des Chefs d'Etat de l'Union. Le cas de la Mauritanie y sera examiné dans le cadre de la question de la prolifération des coups d'Etat. Des décisions sont attendues.
Le six février, le lendemain de l'expiration de l'ultimatum qu'il avait fixé à la Junte Mauritanien, le Conseil de Paix et de Sécurité de l'Union Africaine (CPS) va se réunir. Il constatera le blocage persistant de la situation en Mauritanie et décidera des sanctions annoncées. Il statuera sur le transfert du dossier des sanctions au Conseil de Sécurité de l'ONU.
Le Coup d'Etat du 6 août, après avoir été rejeté par les Mauritaniens et notamment par leurs forces vives, est en train de recevoir le coup de grâce dans cette capitale d'Abyssinie.
For Mauritania
La tâche de cette importante délégation est facilité par la très grande adhésion de la Communauté Internationale et notamment des membres de l'Union Africaine à la lutte des Mauritaniens pour recouvrer leur institutions républicaines mises à mal par le Coup d'Etat du 6 août 2008.
Cette adhésion s'est manifestée en des termes claires et fermes dans le Communiqué paru à l'issue de la réunion de coordination des organisations partenaires de la Mauritanie tenue mercredi en marge du Sommet de l'Union Africaine.
Rejet de l'agenda de la Junte, prise en compte de l'initiative du Président de la République, injonction faite à la Junte de cesser le harcèlement dont le Président est l'objet et d'assurer sa sécurité et sa liberté d'expression et de mouvement, tels sont les nouveaux points mis en évidence dans ce Communiqué.
Il faut cependant préciser que ce groupe est une instance de coordination entre différentes organisations (la Ligue des Etats Arabes, les Nations Unies, l'Organisation de la Conférence Islamique (OIC), l'Organisation Internationale de la Francophonie (OIF), l'Union Européenne (UE) et l'Union Européenne (UE)). Ce n'est pas le lieu de prise de décisions. Les décisions sont prises au niveau de chacune des organisations suivant les modalités propres à chacune d'entre elles.
Pour ce qui concerne la Mauritanie, des décisions sont attendue au sein de trois institutions: l'Union Africaine, l'Union Européenne et l'ONU.
A Addis Abeba, l'Union Africaine a deux échéances importantes dans les jours qui viennent.
Entre le premier et le trois février se tient la Conférence des Chefs d'Etat de l'Union. Le cas de la Mauritanie y sera examiné dans le cadre de la question de la prolifération des coups d'Etat. Des décisions sont attendues.
Le six février, le lendemain de l'expiration de l'ultimatum qu'il avait fixé à la Junte Mauritanien, le Conseil de Paix et de Sécurité de l'Union Africaine (CPS) va se réunir. Il constatera le blocage persistant de la situation en Mauritanie et décidera des sanctions annoncées. Il statuera sur le transfert du dossier des sanctions au Conseil de Sécurité de l'ONU.
Le Coup d'Etat du 6 août, après avoir été rejeté par les Mauritaniens et notamment par leurs forces vives, est en train de recevoir le coup de grâce dans cette capitale d'Abyssinie.
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