
Le Président de la République, Sidi Mohamed ould Cheikh Abdallahi, a reçu aujourd'hui, à Lemden où il est assigné à résidence surveillée à 250 Km au sud de la Capitale, un appel téléphonique du Président sud africain, Monsieur Kgalema Motlanthe. Monsieur Motlanthe, qui est aussi le vice-président de l'ANC (African National Congrès), a assuré le Président mauritanien élu du soutien de son pays et de sa solidarité avec la cause de la démocratie en Mauritanie.
L'Afrique du Sud, membre éminent du Conseil de Paix et de Sécurité (CPS), s'est toujours distinguée par ses prises de position et son combat pour la liberté des peuples d'Afrique et leur accès à la dignité et au développement.
Ce pays a accueilli nombre de délégations du front National pour la Défense de la Démocratie (FNDD) et du Gouvernement légitime.
Après les Présidents Gabonais, Boukinabé, Lybien, Sénégalais, Algérien, de la Commission de l'Union Africaine et les représentant du Secrétaire Général de l'ONU, l'entretien avec le Président sud africain vient démontrer l'intérêt que porte la Communauté Internationale à la situation de blocage dans laquelle le Général limogé a placé la Mauritanie.
Une mission de haut niveau, composée de représentants des principaux grands ensembles internationaux, est attendue en Mauritanie aux environs du 6 décembre. Cette mission portera, pour une ultime fois, la proposition de sortie de crise suggérée par la Communauté Internationale aux Mauritaniens et qui se résume en le paragraphe 3 du communiqué d'Addis-Abeba du 21 novembre dernier, à savoir:
« 3. Les participants ont rappelé le communiqué du 10 novembre 2008, en particulier les éléments pour le règlement de la crise mauritanienne qui y sont contenus:
libération inconditionnelle du Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, sa contribution en sa qualité de Président à la recherche d’une solution, la participation de toutes les parties prenantes et le plein respect de la Constitution. Dans ce cadre, cette approche pourrait conduire à la tenue d’élections présidentielles libres et régulières, comme élément d’une solution globale, pacifique et démocratique à la crise, qui soit acceptable pour le peuple mauritanien et jouisse de l’appui de la communauté internationale. »
For-Mauritania
L'Afrique du Sud, membre éminent du Conseil de Paix et de Sécurité (CPS), s'est toujours distinguée par ses prises de position et son combat pour la liberté des peuples d'Afrique et leur accès à la dignité et au développement.
Ce pays a accueilli nombre de délégations du front National pour la Défense de la Démocratie (FNDD) et du Gouvernement légitime.
Après les Présidents Gabonais, Boukinabé, Lybien, Sénégalais, Algérien, de la Commission de l'Union Africaine et les représentant du Secrétaire Général de l'ONU, l'entretien avec le Président sud africain vient démontrer l'intérêt que porte la Communauté Internationale à la situation de blocage dans laquelle le Général limogé a placé la Mauritanie.
Une mission de haut niveau, composée de représentants des principaux grands ensembles internationaux, est attendue en Mauritanie aux environs du 6 décembre. Cette mission portera, pour une ultime fois, la proposition de sortie de crise suggérée par la Communauté Internationale aux Mauritaniens et qui se résume en le paragraphe 3 du communiqué d'Addis-Abeba du 21 novembre dernier, à savoir:
« 3. Les participants ont rappelé le communiqué du 10 novembre 2008, en particulier les éléments pour le règlement de la crise mauritanienne qui y sont contenus:
libération inconditionnelle du Président Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, sa contribution en sa qualité de Président à la recherche d’une solution, la participation de toutes les parties prenantes et le plein respect de la Constitution. Dans ce cadre, cette approche pourrait conduire à la tenue d’élections présidentielles libres et régulières, comme élément d’une solution globale, pacifique et démocratique à la crise, qui soit acceptable pour le peuple mauritanien et jouisse de l’appui de la communauté internationale. »
For-Mauritania