Nouakchott, Mauritanie (PANA) - Le retour avorté à Nouakchott du président déchu, Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, a fait la Une des journaux mauritaniens cette semaine.
Sous le titre "le temps des violeurs", l’hebdomadaire Le Calame dénonce les manifestations hostiles au président déchu, alors que son confrère Points chauds parle de "no man's land pour Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi" à propos de son retour avorté dans la capitale.
Le journal décrit les misères faites à Ould Abdallahi - cortège arrêté, passé au peigne fin, traité de manière peu orthodoxe - qui l'ont amené à retourner dans son village de Lemden situé à 250 kilomètres au sud-est de Nouakchott.
Pour sa part, le quotidien Biladi choisit la veille de l’arrivée annoncée de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi à Nouakchott pour publier une longue interview du président de l’Union des Forces de Progrès (UFP)- formation membre du front anti-putsch, Mohamed Ould Maouloud.
Ce dernier, convaincu de la fatalité de "l’échec" du coup de force du 6 août dernier, rejette toute idée "d’essoufflement" du camp opposé au pouvoir des généraux.
Nouakchott - 24/01/2009
Sous le titre "le temps des violeurs", l’hebdomadaire Le Calame dénonce les manifestations hostiles au président déchu, alors que son confrère Points chauds parle de "no man's land pour Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi" à propos de son retour avorté dans la capitale.
Le journal décrit les misères faites à Ould Abdallahi - cortège arrêté, passé au peigne fin, traité de manière peu orthodoxe - qui l'ont amené à retourner dans son village de Lemden situé à 250 kilomètres au sud-est de Nouakchott.
Pour sa part, le quotidien Biladi choisit la veille de l’arrivée annoncée de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi à Nouakchott pour publier une longue interview du président de l’Union des Forces de Progrès (UFP)- formation membre du front anti-putsch, Mohamed Ould Maouloud.
Ce dernier, convaincu de la fatalité de "l’échec" du coup de force du 6 août dernier, rejette toute idée "d’essoufflement" du camp opposé au pouvoir des généraux.
Nouakchott - 24/01/2009