
Les résultats des négociations entre les différents acteurs politiques mauritaniens seront connus ce mardi, a promis tard lundi, la médiation sénégalaise par la voix du ministre des Affaires étrangères, Cheikh Tidiane Gadio.
Lesdites négociations ont été entamées jeudi dernier en présence du Groupe de contact international composé de l’Union africaine, de la Ligue arabe, de l’Union européenne, de l’Organisation internationale de la Francophonie et de l’ONU.
« Le groupe international de contact a eu encore ce soir (lundi soir) une séance de travail que nous jugeons très utile. Nous avons rencontré les représentants des trois pôles mauritaniens et nous avons eu un échange très approfondi avec eux », a affirmé le ministre Gadio.
"C’est le fruit d’un long processus", a-t-il ajouté.
« Nous avons fait une offre, une proposition globale, structurée, très équilibrée et satisfaisante de sortie de crise », a-t-il dit, ajoutant que lundi soir, « nous avons été en mesure d’entendre les réactions de nos partenaires que sont les trois chefs de délégations mauritaniennes ».
« Certains nous ont donné un accord sans réserve, un avis favorable à nos propositions (tandis que) d’autres nous ont posé des questions, demandé des clarifications. Le représentant de l’UA et moi-même allons nous rendre chez ceux là.
Il a ensuite promis pour ce mardi « à 10 heures 30 minutes » les résultats des négociations.
« Le groupe de contact va faire son communiqué final à l’opinion africaine et internationale sur l’ensemble du processus de nos travaux », a-t-il poursuivi.
La médiation avait, à l’entame des travaux, exclu tout échec des négociations, estimant vouloir pour la Mauritanie « un accord bien verrouillé ».
« C’est facile de signer rapidement un accord dont pour la mise en œuvre on a des désaccords profonds et l’accord s’effondre rapidement », avait déclaré à ce propos M. Gadio.
Le ministre sénégalais des Affaires étrangères a passé plusieurs jours en Mauritanie ces dernières semaines pour tenter de trouver une issue à la crise politique née du coup d’Etat du 6 août 2008 ayant déposé le premier président démocratiquement élu, Sidi Ould Cheikh Abdallahi.
Source: APA
Lesdites négociations ont été entamées jeudi dernier en présence du Groupe de contact international composé de l’Union africaine, de la Ligue arabe, de l’Union européenne, de l’Organisation internationale de la Francophonie et de l’ONU.
« Le groupe international de contact a eu encore ce soir (lundi soir) une séance de travail que nous jugeons très utile. Nous avons rencontré les représentants des trois pôles mauritaniens et nous avons eu un échange très approfondi avec eux », a affirmé le ministre Gadio.
"C’est le fruit d’un long processus", a-t-il ajouté.
« Nous avons fait une offre, une proposition globale, structurée, très équilibrée et satisfaisante de sortie de crise », a-t-il dit, ajoutant que lundi soir, « nous avons été en mesure d’entendre les réactions de nos partenaires que sont les trois chefs de délégations mauritaniennes ».
« Certains nous ont donné un accord sans réserve, un avis favorable à nos propositions (tandis que) d’autres nous ont posé des questions, demandé des clarifications. Le représentant de l’UA et moi-même allons nous rendre chez ceux là.
Il a ensuite promis pour ce mardi « à 10 heures 30 minutes » les résultats des négociations.
« Le groupe de contact va faire son communiqué final à l’opinion africaine et internationale sur l’ensemble du processus de nos travaux », a-t-il poursuivi.
La médiation avait, à l’entame des travaux, exclu tout échec des négociations, estimant vouloir pour la Mauritanie « un accord bien verrouillé ».
« C’est facile de signer rapidement un accord dont pour la mise en œuvre on a des désaccords profonds et l’accord s’effondre rapidement », avait déclaré à ce propos M. Gadio.
Le ministre sénégalais des Affaires étrangères a passé plusieurs jours en Mauritanie ces dernières semaines pour tenter de trouver une issue à la crise politique née du coup d’Etat du 6 août 2008 ayant déposé le premier président démocratiquement élu, Sidi Ould Cheikh Abdallahi.
Source: APA