
Les députés membres du Front national de Défense de la Démocratie, n’assisteront pas à la session extraordinaire du Parlement, a appris APA, mardi de source proche du regroupement hostile au putsch en Mauritanie.
Cette session a été convoquée pour mercredi par le général Mohamed Ould Abdel Aziz, Président du Haut Conseil d’Etat, au pouvoir en Mauritanie.
Le Front avait dénoncé, lors d’une conférence de presse lundi à Nouakchott, « l’utilisation des moyens de l’Etat dans l’organisation » du meeting populaire de soutien au putsch, organisé le même jour et auquel avait pris part le nouvel homme fort du pays.
Il avait notamment critiqué la non autorisation par le wali (gouverneur) de Nouakchott, d’une marche de protestation que les partis du Front comptaient organiser lundi.
Selon le Front, le wali a notifier son refus, « quelques heures seulement » avant le déclenchement de la marche, « ce qui est contraire aux textes en vigueur dans le pays».
Le Front National de Défense de la Démocratie est composé de 6 formations politiques, parmi lesquelles, le parti TAWASSOUL (Islamistes), l’ex parti au pouvoir, ADIL et surtout l’Union des Forces du Progrès (UFP) et l’Alliance Populaire Progressiste (APP), dirigé par Messoud Ould Boulkheir, président du Parlement, qui a jugé « juridiquement nulle », la convocation d’une session extraordinaire, par le général Mohamed Ould Abdel Aziz.
Les députés appartenant à ces partis sont au nombre de 14 sur un total de 95. Depuis que les alliances se sont disloquées, au fil des crises qui les ont traversées durant ces derniers mois, la majorité parlementaire a volé en éclats, a-t-on constaté.
___________
Source: APA
(M) avomm
Cette session a été convoquée pour mercredi par le général Mohamed Ould Abdel Aziz, Président du Haut Conseil d’Etat, au pouvoir en Mauritanie.
Le Front avait dénoncé, lors d’une conférence de presse lundi à Nouakchott, « l’utilisation des moyens de l’Etat dans l’organisation » du meeting populaire de soutien au putsch, organisé le même jour et auquel avait pris part le nouvel homme fort du pays.
Il avait notamment critiqué la non autorisation par le wali (gouverneur) de Nouakchott, d’une marche de protestation que les partis du Front comptaient organiser lundi.
Selon le Front, le wali a notifier son refus, « quelques heures seulement » avant le déclenchement de la marche, « ce qui est contraire aux textes en vigueur dans le pays».
Le Front National de Défense de la Démocratie est composé de 6 formations politiques, parmi lesquelles, le parti TAWASSOUL (Islamistes), l’ex parti au pouvoir, ADIL et surtout l’Union des Forces du Progrès (UFP) et l’Alliance Populaire Progressiste (APP), dirigé par Messoud Ould Boulkheir, président du Parlement, qui a jugé « juridiquement nulle », la convocation d’une session extraordinaire, par le général Mohamed Ould Abdel Aziz.
Les députés appartenant à ces partis sont au nombre de 14 sur un total de 95. Depuis que les alliances se sont disloquées, au fil des crises qui les ont traversées durant ces derniers mois, la majorité parlementaire a volé en éclats, a-t-on constaté.
___________
Source: APA
(M) avomm