
«Nous parlementaires mauritaniens de l’assemblée nationale et du Sénat, largement majoritaire, nous avons pris connaissance du communiqué rendue public en marge de la dernière assemblée générale des Nations Unies par le Conseil de paix et de sécurité de l’Union Africaine. Nous le rejetons totalement et définitivement dans sa lettre et dans son fond.»
C’est ainsi qu’a parlé le député Moustapha Ould Abeidarrahmane au nom des parlementaires soutiens du coup d’Etat du six août et du Haut Conseil d’Etat auteur de ce coup.
La déclaration de Moustapha Ould Abeidarrahmane a été faite au sénat vendredi 26 septembre. Le député Ould Maham a noté que la perspective du retour de Sidi Ould Cheikh Abdellahi au pouvoir est une ligne rouge infranchissable et non négociable.
Le Communiqué du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine rendu public à New York en marge de l’assemblée générale des Nations Unies, exige le retour à la légalité constitutionnelle en Mauritanie par le rétablissement du Président de la République renversé le 06 août 2008, Sidi Ould Cheikh Abdellahi.
Moustapha Ould Abeirarrahmane, au cours de la conférence de presse a affirmé : « On ne peut chercher à détruire un pays pour une personne. Nous ne l’accepterons pas, ni de l’intérieur ni de l’extérieur. »
Il a ajouté : « Nous disons à ceux qui nous menacent de sanctions que la Mauritanie saura se défendre. Elle ne sera pas une proie facile.»
Khalilou Diagana
Pour Cridem
C’est ainsi qu’a parlé le député Moustapha Ould Abeidarrahmane au nom des parlementaires soutiens du coup d’Etat du six août et du Haut Conseil d’Etat auteur de ce coup.
La déclaration de Moustapha Ould Abeidarrahmane a été faite au sénat vendredi 26 septembre. Le député Ould Maham a noté que la perspective du retour de Sidi Ould Cheikh Abdellahi au pouvoir est une ligne rouge infranchissable et non négociable.
Le Communiqué du Conseil de paix et de sécurité de l’Union africaine rendu public à New York en marge de l’assemblée générale des Nations Unies, exige le retour à la légalité constitutionnelle en Mauritanie par le rétablissement du Président de la République renversé le 06 août 2008, Sidi Ould Cheikh Abdellahi.
Moustapha Ould Abeirarrahmane, au cours de la conférence de presse a affirmé : « On ne peut chercher à détruire un pays pour une personne. Nous ne l’accepterons pas, ni de l’intérieur ni de l’extérieur. »
Il a ajouté : « Nous disons à ceux qui nous menacent de sanctions que la Mauritanie saura se défendre. Elle ne sera pas une proie facile.»
Khalilou Diagana
Pour Cridem