"Nous sommes favorables à ce qu'un dialogue puisse s'engager au niveau du pays afin de parvenir à des mécanismes pour une présidentielle transparente, dont un gouvernement de large consensus national où tous seront représentés" a indiqué le porte-parole de la coordination, Moustapha Ould Abeiderrahmane lors d'une conférence de presse.
La coordination comprend les députés et sénateurs de la majorité parlementaire, les partis politiques et les différents soutiens du Haut conseil d'Etat (junte) qui avait renversé le président Sidi Ould Cheikh Abdallahi.
"Il est encore temps pour aller à la concertation pour la formation de ce gouvernement, d'une Commission électorale nationale indépendante consensuelle et toutes les autres garanties qui satisferaient toutes les parties", a-t-il ajouté.
Le porte-parole a également invité ses adversaires politiques à "se rendre à l'évidence que le retour à l'avant 6 août est désormais impossible, ce serait une myopie politique d'y penser encore à ce stade de l'évolution des choses".
Il a enfin demandé à tous les protagonistes de "s'engager à favoriser la médiation internationale dont (le dirigeant libyen et président de l'Union africaine Mouammar) Kadhafi est mandaté", critiquant le "comportement incongru" des anti-putsch.
Ceux-ci ont mis en cause la crédibilité de la démarche de Kadhafi, qu'ils considèrent comme "favorable au pouvoir militaire".
© 2009 AFP
source : TV5 Monde
via cridem
La coordination comprend les députés et sénateurs de la majorité parlementaire, les partis politiques et les différents soutiens du Haut conseil d'Etat (junte) qui avait renversé le président Sidi Ould Cheikh Abdallahi.
"Il est encore temps pour aller à la concertation pour la formation de ce gouvernement, d'une Commission électorale nationale indépendante consensuelle et toutes les autres garanties qui satisferaient toutes les parties", a-t-il ajouté.
Le porte-parole a également invité ses adversaires politiques à "se rendre à l'évidence que le retour à l'avant 6 août est désormais impossible, ce serait une myopie politique d'y penser encore à ce stade de l'évolution des choses".
Il a enfin demandé à tous les protagonistes de "s'engager à favoriser la médiation internationale dont (le dirigeant libyen et président de l'Union africaine Mouammar) Kadhafi est mandaté", critiquant le "comportement incongru" des anti-putsch.
Ceux-ci ont mis en cause la crédibilité de la démarche de Kadhafi, qu'ils considèrent comme "favorable au pouvoir militaire".
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source : TV5 Monde
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