Nouakchott, Mauritanie (PANA)- Le ministre mauritanien des Affaires étrangères et de la Coopération, le Dr Mohamed Mahmoud Ould Mahamedou, a soumis au président de la Commission de l’Union africaine (UA), Jean Ping, un plan de sortie de la crise politique institutionnelle qui prévaut dans le pays depuis plusieurs mois (avec un fait marquant: le coup d’Etat militaire du 6 août 2008), révèlent plusieurs organes de la presse locale.
Ce plan de règlement préconise "la démission" du général Mohamed Ould Abdel Aziz et un intérim d’au moins 45 jours assuré par le président du Sénat, "conformément à l’article 40 de la Constitution".
Le rôle et les prérogatives de la junte au pouvoir feront l’objet d’amendements pour être confinées uniquement aux questions de sécurité nationale.
L’élection présidentielle à venir sera ouverte à tous les candidats sans exclusion.
L’organisation continentale est invitée à venir s’assurer des modalités pratiques de la mise en œuvre de la proposition de la junte.
Le président en exercice de l’Union africaine (UA), le Secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), le Secrétaire général des Nations unies, le Secrétaire général de l’Organisation de la conférence islamique (OCI), le commissaire en charge du Développement et de l’Action humanitaire de l’Union européenne (UE) et le Secrétaire général de la Ligue arabe sont ampliataires de cette correspondance.
En Mauritanie, rappelle-t-on, une junte sous la direction du général Mohamed Ould Abdel Aziz, a renversé le pouvoir de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, le 6 août 2008.
La communauté internationale exige le retour à l’ordre constitutionnel et menace le pays de sanctions et d’isolement.
Nouakchott - 19/02/2009
Ce plan de règlement préconise "la démission" du général Mohamed Ould Abdel Aziz et un intérim d’au moins 45 jours assuré par le président du Sénat, "conformément à l’article 40 de la Constitution".
Le rôle et les prérogatives de la junte au pouvoir feront l’objet d’amendements pour être confinées uniquement aux questions de sécurité nationale.
L’élection présidentielle à venir sera ouverte à tous les candidats sans exclusion.
L’organisation continentale est invitée à venir s’assurer des modalités pratiques de la mise en œuvre de la proposition de la junte.
Le président en exercice de l’Union africaine (UA), le Secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF), le Secrétaire général des Nations unies, le Secrétaire général de l’Organisation de la conférence islamique (OCI), le commissaire en charge du Développement et de l’Action humanitaire de l’Union européenne (UE) et le Secrétaire général de la Ligue arabe sont ampliataires de cette correspondance.
En Mauritanie, rappelle-t-on, une junte sous la direction du général Mohamed Ould Abdel Aziz, a renversé le pouvoir de Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, le 6 août 2008.
La communauté internationale exige le retour à l’ordre constitutionnel et menace le pays de sanctions et d’isolement.
Nouakchott - 19/02/2009