
La candidature du président du HCE, le Général Mohamed Ould Abdel Aziz ne fait plus aujourd’hui l’objet d’aucun doute, étant donné qu’il a personnellement confirmé sur les chaines El Arabiya qu’il briguera le suffrage des électeurs lors de la future présidentielle de juin 2009.
Son successeur ne fait également plus de secret autour de sa personne ; étant donné qu’il sera celui à qui la constitution confère la direction du pays, en cas de démission ou d’empêchement du chef de l’Etat, jusqu’à l’élection du futur président de la république.
C’est donc le président du Sénat, M. Bâ M’Baré qui va avoir la difficile mission de diriger la future transition politique où il devra faire preuve de maturité politique et de neutralité considérable pour mener à bon port cette échéance, déjà boycottée, au moins dans l’immédiat, par le Rfd et le Fndd.
Ce sera également la première fois qu’un président noir devient locataire de la Maison Brune ; un tableau très splendide qui se recoupe en plusieurs endroits avec la volonté des dirigeants de régler le passif humanitaire et de promouvoir à tous les niveaux les communautés marginalisées des hratines et des kwars.
Le Général Mohamed Ould Abdel Aziz a critiqué au cours du même entretien la position de l’Oncle Sam, disant que si les Etats-Unis saluent le maintien des sanctions contre la République Islamique de Mauritanie, "nous ne saluons pas son communiqué appelant à appliquer ces sanctions".
Selon des milieux proches de la majorité parlementaire acquise au président du HCE, le Général Mohamed Ould Abdel Aziz, celui-ci présentera sa démission le 18 avril prochain pour se consacrer à la campagne présidentielle ; soit 48 jours avant le scrutin de la consultation présidentielle.
La date de cette démission correspond parfaitement aux appels de la France, à travers le chef du Quai d’Orsay Bernard Kouchner, qui interpellait le Général Ould Abel Aziz à démissionner 45 jours avant la date des élections, s’il compte se constituer candidat à la présidentielle de juin 2009.
L’Hexagone qui est d’ailleurs revenu hier au devant de la scène, par le biais du président français Nicolas Sartkozy pour défendre le cas mauritanien, le distinguant des autres cas africains, notamment ceux de Madagascar et de la Guinée.
Mohamed Ould Mohamed Lemine
source : Mohamed Ould Mohamed Lemine
Son successeur ne fait également plus de secret autour de sa personne ; étant donné qu’il sera celui à qui la constitution confère la direction du pays, en cas de démission ou d’empêchement du chef de l’Etat, jusqu’à l’élection du futur président de la république.
C’est donc le président du Sénat, M. Bâ M’Baré qui va avoir la difficile mission de diriger la future transition politique où il devra faire preuve de maturité politique et de neutralité considérable pour mener à bon port cette échéance, déjà boycottée, au moins dans l’immédiat, par le Rfd et le Fndd.
Ce sera également la première fois qu’un président noir devient locataire de la Maison Brune ; un tableau très splendide qui se recoupe en plusieurs endroits avec la volonté des dirigeants de régler le passif humanitaire et de promouvoir à tous les niveaux les communautés marginalisées des hratines et des kwars.
Le Général Mohamed Ould Abdel Aziz a critiqué au cours du même entretien la position de l’Oncle Sam, disant que si les Etats-Unis saluent le maintien des sanctions contre la République Islamique de Mauritanie, "nous ne saluons pas son communiqué appelant à appliquer ces sanctions".
Selon des milieux proches de la majorité parlementaire acquise au président du HCE, le Général Mohamed Ould Abdel Aziz, celui-ci présentera sa démission le 18 avril prochain pour se consacrer à la campagne présidentielle ; soit 48 jours avant le scrutin de la consultation présidentielle.
La date de cette démission correspond parfaitement aux appels de la France, à travers le chef du Quai d’Orsay Bernard Kouchner, qui interpellait le Général Ould Abel Aziz à démissionner 45 jours avant la date des élections, s’il compte se constituer candidat à la présidentielle de juin 2009.
L’Hexagone qui est d’ailleurs revenu hier au devant de la scène, par le biais du président français Nicolas Sartkozy pour défendre le cas mauritanien, le distinguant des autres cas africains, notamment ceux de Madagascar et de la Guinée.
Mohamed Ould Mohamed Lemine
source : Mohamed Ould Mohamed Lemine