
Hadi est un tortionnaire!
Dans une enquête qu’il qualifie d’exclusive, mise en ligne sur son site le 28 décembre 2008, Taqadoumy est trop vite allé en besogne diffamatrice contre l’actuel Directeur Général de la Sûreté Nationale, le Colonel Mohamed Ould Cheikh Ould El Hadi en impliquant absurdement les services de sécurité de notre pays dans l’attaque de Nampala au Mali par des présumés rebelles.
Le site qui traite parfois à la va-vite des sujets d’actualité sans prendre suffisamment du temps pour entourer ses nouvelles de la plus grande authenticité, s’est basé sur ce qu’il appelle des "recoupements opérés dans la sous-région" par ses propres sources.
De nos jours, dresser un fait, surtout quand il est mensongèrement attentatoire à une personne, à fortiori à une personnalité publique, comme le Directeur Général de la Sûreté Nationale, le Colonel Mohamed Ould Cheikh Ould Hadi, également membre du Haut Conseil d’Etat, ne doit pas dépendre de seuls témoignages que les ennemis du Haut Conseil d’Etat et du mouvement de rectification, peuvent habilement façonner à leurs convictions contestées.
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-Commentaire AVOMM: Le colonel peut se defendre en portant plainte contre nous en Mauritanie s'il veut, nous répondrons présents. Nous avons le plaisir de dire au DGSN que la plainte contre Taya à Bruxelles le concerne bien sûr
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S’attaquer d’une manière aussi virulente à un haut responsable de l’Etat et impliquer fatalement son pays dans une affaire purement malio-malienne, ne pourrait qu’être l’œuvre de mauvaises volontés qui cherchent à tout prix à nuire aux relations séculaires de bon voisinage entre Bamako et Nouakchott.
Les observateurs les plus avertis de notre vécu politique s’interrogent de bout en bout sur les différents passages de l’enquête accusatrice, se demandant quel intérêt, la Mauritanie a, pour se livrer à une telle entreprise extérieure, alors qu’elle a suffisamment de chats à fouetter à l’intérieur.
Aller jusqu’à dire que Nouakchott livrait du "carburant, des munitions et des véhicules à la rébellion Touareg mais pas d’armes", relève de la supercherie dont les instigateurs cherchent à faire feu de tout bois entre deux pays frères condamnés à vivre ensemble et à affronter main dans la main les périls extérieurs tels que le trafic de la drogue, le terrorisme, l’immigration clandestine …etc.
L’enquête calomniatrice serait donc tout simplement le reflet de cette lire propre aux adversaires du mouvement de rectification qui sautent sur toutes les occasions pour déverser leur haine par des règlements de compte inappropriés et inutiles. Pourtant, on constate parfaitement qu’on peut librement et sans crainte d’être gêné, manifester sa sympathie au régime déchu en refusant de reconnaître l’actuel pouvoir, en écrivant des articles dûment signés.
Ce n’est pas en voulant combler ses moments vides durant son exil qu’il faut jeter son venin sur des innocents en fabriquant à sa guise des exorbités. L’enquête critique ne pourrait être aussi l’œuvre de véritables intellectuels. Elle ne pourrait être écrite que par un israélien qui peut sacrifier sa vie pour plonger notre fier pays dans la merde. Sinon, par ces mauritaniens vivant à l’étranger dans la misère totale qui sont imbattables dans ce type de persécution et de chantage, au lieu de rejoindre leur pays où les portes sont grandes ouvertes.
Aujourd’hui, le Colonel Mohamed Ould Cheikh Ould El Hadi a réalisé un travail considérable qui le défend honorablement et parle de lui. C’est avec lui que le terrorisme a enregistré un sérieux recul, que le banditisme et la criminalité ont chuté, créant au profit des populations une nouvelle ère de sécurité qui faisait cruellement défaut. C’est sûrement avec le nouveau Directeur Général de la Sûreté Nationale que le dossier de la drogue va être entièrement décortiqué et ses ramifications démasquées dans les prochains mois.
Pour ceux qui ne le connaissent pas véritablement, le Colonel Mohamed Ould Cheikh Ould Hadi est issu d’une famille chérifienne et maraboutique de la ville d’Aoujeft. Le principal reproche qu’on a fait à ce haut officier aujourd’hui et à travers lui, à Aoujeft, son fief natal, c’est sa foi totale en l’aptitude du président du Haut Conseil d’Etat et chef de l’Etat le Général Mohamed Ould Abdel Aziz de conduire la Mauritanie vers la stabilité, le progrès et la réconciliation nationale.
Les notables, cadres et élus de la Moughataa d’Aoujeft sont les premiers à soutenir le mouvement de rectification. Même avant le 6 août, ils étaient à la tête de la fronde contre le régime déchu.
A propos du Mali, ce pays frère pourra toujours compter sur la Mauritanie qui sera toujours la première de la sous-région à se solidariser de lui contre les nombreuses menaces auxquelles il est confronté.
D’ailleurs, la semaine dernière, dans leur lutte commune, des forces armées mauritaniennes et maliennes avaient pris en tenaille des trafiquants surarmés qui sévissaient à la frontière entre les deux pays en maître absolu et imprenable des lieux.
C’est dommage que dans notre pays, il est coutumier de s’en prendre à des gens honnêtes pour les impliquer faussement dans des dossiers d’extrême gravité. Chaque fois que le pays rappelle certains de ses fils pour le servir patriotiquement, ou accomplir avec loyauté leurs devoirs, des "mourtazigha", souvent déguisés à l’étranger, s’en prennent à ceux qui en font la fierté.
Le Véridique
Le site qui traite parfois à la va-vite des sujets d’actualité sans prendre suffisamment du temps pour entourer ses nouvelles de la plus grande authenticité, s’est basé sur ce qu’il appelle des "recoupements opérés dans la sous-région" par ses propres sources.
De nos jours, dresser un fait, surtout quand il est mensongèrement attentatoire à une personne, à fortiori à une personnalité publique, comme le Directeur Général de la Sûreté Nationale, le Colonel Mohamed Ould Cheikh Ould Hadi, également membre du Haut Conseil d’Etat, ne doit pas dépendre de seuls témoignages que les ennemis du Haut Conseil d’Etat et du mouvement de rectification, peuvent habilement façonner à leurs convictions contestées.
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-Commentaire AVOMM: Le colonel peut se defendre en portant plainte contre nous en Mauritanie s'il veut, nous répondrons présents. Nous avons le plaisir de dire au DGSN que la plainte contre Taya à Bruxelles le concerne bien sûr
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S’attaquer d’une manière aussi virulente à un haut responsable de l’Etat et impliquer fatalement son pays dans une affaire purement malio-malienne, ne pourrait qu’être l’œuvre de mauvaises volontés qui cherchent à tout prix à nuire aux relations séculaires de bon voisinage entre Bamako et Nouakchott.
Les observateurs les plus avertis de notre vécu politique s’interrogent de bout en bout sur les différents passages de l’enquête accusatrice, se demandant quel intérêt, la Mauritanie a, pour se livrer à une telle entreprise extérieure, alors qu’elle a suffisamment de chats à fouetter à l’intérieur.
Aller jusqu’à dire que Nouakchott livrait du "carburant, des munitions et des véhicules à la rébellion Touareg mais pas d’armes", relève de la supercherie dont les instigateurs cherchent à faire feu de tout bois entre deux pays frères condamnés à vivre ensemble et à affronter main dans la main les périls extérieurs tels que le trafic de la drogue, le terrorisme, l’immigration clandestine …etc.
L’enquête calomniatrice serait donc tout simplement le reflet de cette lire propre aux adversaires du mouvement de rectification qui sautent sur toutes les occasions pour déverser leur haine par des règlements de compte inappropriés et inutiles. Pourtant, on constate parfaitement qu’on peut librement et sans crainte d’être gêné, manifester sa sympathie au régime déchu en refusant de reconnaître l’actuel pouvoir, en écrivant des articles dûment signés.
Ce n’est pas en voulant combler ses moments vides durant son exil qu’il faut jeter son venin sur des innocents en fabriquant à sa guise des exorbités. L’enquête critique ne pourrait être aussi l’œuvre de véritables intellectuels. Elle ne pourrait être écrite que par un israélien qui peut sacrifier sa vie pour plonger notre fier pays dans la merde. Sinon, par ces mauritaniens vivant à l’étranger dans la misère totale qui sont imbattables dans ce type de persécution et de chantage, au lieu de rejoindre leur pays où les portes sont grandes ouvertes.
Aujourd’hui, le Colonel Mohamed Ould Cheikh Ould El Hadi a réalisé un travail considérable qui le défend honorablement et parle de lui. C’est avec lui que le terrorisme a enregistré un sérieux recul, que le banditisme et la criminalité ont chuté, créant au profit des populations une nouvelle ère de sécurité qui faisait cruellement défaut. C’est sûrement avec le nouveau Directeur Général de la Sûreté Nationale que le dossier de la drogue va être entièrement décortiqué et ses ramifications démasquées dans les prochains mois.
Pour ceux qui ne le connaissent pas véritablement, le Colonel Mohamed Ould Cheikh Ould Hadi est issu d’une famille chérifienne et maraboutique de la ville d’Aoujeft. Le principal reproche qu’on a fait à ce haut officier aujourd’hui et à travers lui, à Aoujeft, son fief natal, c’est sa foi totale en l’aptitude du président du Haut Conseil d’Etat et chef de l’Etat le Général Mohamed Ould Abdel Aziz de conduire la Mauritanie vers la stabilité, le progrès et la réconciliation nationale.
Les notables, cadres et élus de la Moughataa d’Aoujeft sont les premiers à soutenir le mouvement de rectification. Même avant le 6 août, ils étaient à la tête de la fronde contre le régime déchu.
A propos du Mali, ce pays frère pourra toujours compter sur la Mauritanie qui sera toujours la première de la sous-région à se solidariser de lui contre les nombreuses menaces auxquelles il est confronté.
D’ailleurs, la semaine dernière, dans leur lutte commune, des forces armées mauritaniennes et maliennes avaient pris en tenaille des trafiquants surarmés qui sévissaient à la frontière entre les deux pays en maître absolu et imprenable des lieux.
C’est dommage que dans notre pays, il est coutumier de s’en prendre à des gens honnêtes pour les impliquer faussement dans des dossiers d’extrême gravité. Chaque fois que le pays rappelle certains de ses fils pour le servir patriotiquement, ou accomplir avec loyauté leurs devoirs, des "mourtazigha", souvent déguisés à l’étranger, s’en prennent à ceux qui en font la fierté.
Le Véridique