En prélude à l’édition 2008 des Rencontres sur le Fleuve, les organisateurs lancent du 1er mai au 31 août prochain cinq grands prix. Des prix pour la littérature, la peinture et le journalisme.
La deuxième édition des Rencontres sur le Fleuve est prévue du 6 au 19 décembre 2008 sur le bateau mythique ‘Bou el mogdad’. Pour cette année, les organisateurs comptent innover en lançant dès le 1er mai cinq ‘grands prix’ destinés à promouvoir les jeunes talents dans le domaine de la littérature, de la peinture et du journalisme.
Le grand prix du ‘meilleur roman publié’ a pour parrain l’écrivain Ousmane Socé Diop. Celui du ‘meilleur roman manuscrit d’auteur non publié’ porte le nom d’Abdoulaye Sadji. Le troisième prix littéraire est celui du ‘meilleur manuscrit théâtral d’auteur non publié’, il a pour parrain Alioune Badara Bèye, président de l’Association des écrivains du Sénégal.
De leur côté, les plasticiens pourront concourir pour le ‘grand prix du meilleur peintre’, dénommé prix ‘Pape Ibra Tall’, du nom du directeur des Manufactures des arts décoratifs de Thiès.
Les journalistes peuvent prétendre au prix ‘Ibrahima Mbengue’, en hommage à cet ancien journaliste à la Rts, par ailleurs père de la romancière Sokhna Benga, initiatrice des Rencontres sur le Fleuve. Les différents prix, explique l’écrivain, qui a tenu un point de presse hier, ‘permettent l’éclosion de jeunes talents et encouragent la créativité’. ‘La compétition littéraire permet à la littérature d’être mieux entretenue’, soutient le président du jury littéraire, Racine Senghor. Pour lui, l’importance des cinq prix réside aussi dans le fait que leurs parrains seront des références pour les futurs lauréats. ‘Ces pionniers ont excellé chacun dans son domaine respectif’, rappelle Racine Senghor.
Expliquant les conditions de participation aux concours, les organisateurs ont informé que certains prix sont ouverts à tous ; notamment les prix ‘Ousmane Socé Diop’, ’Pape Ibra Tall’ et ‘Ibrahima Mbaye’. Pour les prix ‘Abdoulaye Sadji’ et ‘Alioune Badara Bèye’, les candidats doivent déposer leurs premiers manuscrits de roman ou de théâtre. Les thèmes sont libres. Les critères retenus par le jury littéraire sont : l’esthétique, la qualité de l’écriture et son originalité. Pour la peinture, dont le jury est présidé par l’ancienne directrice de la Galerie nationale, Madjiguène Niang, la seule exigence est la ‘règle d’équilibre’. Quant au prix de journalisme, supervisé par Annette Mbaye Derneville, les hommes de médias ont le choix entre l’audiovisuel et la presse écrite.
Les compétitions sont ouvertes jusqu’au 31 août prochain. Les résultats seront connus le 15 novembre. Le 11 décembre à Saint-Louis, lors des Rencontres sur le Fleuve, à bord du ‘Bou el Mogagd’, les différents lauréats recevront leurs récompenses. Le gagnant du prix ‘Ousmane Socé Diop’ empochera 2 millions de francs Cfa en plus d’une promotion de son roman. Pour les prix ‘Abdoulaye Sadji’ et ‘Alioune Badara Bèye’, les lauréats recevront chacun 1 million de francs, et leurs manuscrits seront édités. Le peintre et le journaliste qui se seront distingués bénéficieront d’un ‘accompagnement’ dans leur travail, promettent les organisateurs de la croisière culturelle sur le fleuve Sénégal.
Fatou K. SENE
Source: walffad
(M)
La deuxième édition des Rencontres sur le Fleuve est prévue du 6 au 19 décembre 2008 sur le bateau mythique ‘Bou el mogdad’. Pour cette année, les organisateurs comptent innover en lançant dès le 1er mai cinq ‘grands prix’ destinés à promouvoir les jeunes talents dans le domaine de la littérature, de la peinture et du journalisme.
Le grand prix du ‘meilleur roman publié’ a pour parrain l’écrivain Ousmane Socé Diop. Celui du ‘meilleur roman manuscrit d’auteur non publié’ porte le nom d’Abdoulaye Sadji. Le troisième prix littéraire est celui du ‘meilleur manuscrit théâtral d’auteur non publié’, il a pour parrain Alioune Badara Bèye, président de l’Association des écrivains du Sénégal.
De leur côté, les plasticiens pourront concourir pour le ‘grand prix du meilleur peintre’, dénommé prix ‘Pape Ibra Tall’, du nom du directeur des Manufactures des arts décoratifs de Thiès.
Les journalistes peuvent prétendre au prix ‘Ibrahima Mbengue’, en hommage à cet ancien journaliste à la Rts, par ailleurs père de la romancière Sokhna Benga, initiatrice des Rencontres sur le Fleuve. Les différents prix, explique l’écrivain, qui a tenu un point de presse hier, ‘permettent l’éclosion de jeunes talents et encouragent la créativité’. ‘La compétition littéraire permet à la littérature d’être mieux entretenue’, soutient le président du jury littéraire, Racine Senghor. Pour lui, l’importance des cinq prix réside aussi dans le fait que leurs parrains seront des références pour les futurs lauréats. ‘Ces pionniers ont excellé chacun dans son domaine respectif’, rappelle Racine Senghor.
Expliquant les conditions de participation aux concours, les organisateurs ont informé que certains prix sont ouverts à tous ; notamment les prix ‘Ousmane Socé Diop’, ’Pape Ibra Tall’ et ‘Ibrahima Mbaye’. Pour les prix ‘Abdoulaye Sadji’ et ‘Alioune Badara Bèye’, les candidats doivent déposer leurs premiers manuscrits de roman ou de théâtre. Les thèmes sont libres. Les critères retenus par le jury littéraire sont : l’esthétique, la qualité de l’écriture et son originalité. Pour la peinture, dont le jury est présidé par l’ancienne directrice de la Galerie nationale, Madjiguène Niang, la seule exigence est la ‘règle d’équilibre’. Quant au prix de journalisme, supervisé par Annette Mbaye Derneville, les hommes de médias ont le choix entre l’audiovisuel et la presse écrite.
Les compétitions sont ouvertes jusqu’au 31 août prochain. Les résultats seront connus le 15 novembre. Le 11 décembre à Saint-Louis, lors des Rencontres sur le Fleuve, à bord du ‘Bou el Mogagd’, les différents lauréats recevront leurs récompenses. Le gagnant du prix ‘Ousmane Socé Diop’ empochera 2 millions de francs Cfa en plus d’une promotion de son roman. Pour les prix ‘Abdoulaye Sadji’ et ‘Alioune Badara Bèye’, les lauréats recevront chacun 1 million de francs, et leurs manuscrits seront édités. Le peintre et le journaliste qui se seront distingués bénéficieront d’un ‘accompagnement’ dans leur travail, promettent les organisateurs de la croisière culturelle sur le fleuve Sénégal.
Fatou K. SENE
Source: walffad
(M)