
Le correspondant de For-Mauritania à Lemden rapporte que le Président de la République aurait accepté l'invitation de son homologue libyen, Muammar Elkhadafi, de se rendre à Tripoli dans les jours qui viennent. Ce voyage en Libye, le premier déplacement du Président à l'étranger depuis le Coup d'Etat contre la Constitution, s'inscrit dans le cadre des efforts du Président de l'Union Africaine visant à aider les Mauritaniens à trouver une sortie de la crise dans laquelle le Général limogé à planté le pays.
Il faut rappeler qu'une importante délégation du Front National pour la Défense de la Démocratie (FNDD) est déjà à Tripoli dans le cadre de la même entreprise de médiation. Elle comporte MM. Ba Alassane, Boidjel Ould Hmeid, Mohamed Ould Maouloud, Jemil Ould Mansour et Elkhalil Ould Teyeb.
Il est aussi attendu que le Président de l'Assemblée Nationale, Monsieur Messaoud Ould Boulkheir, fasse le déplacement.
On rappelle aussi que cette médiation libyenne a été adoptée et encouragée par le Groupe International de Contact sur la crise en Mauritanie lors de sa réunion le 20 février à Paris. Ce Groupe a aussi jugé "inacceptables" toutes les initiatives unilatérales tel l'agenda de le Junte. Il a aussi insisté sur l'importance des sanctions individuelles et ciblées édictées par le Conseil de Paix et de Sécurité du l'Union Africaine, le 5 février dernier.
La recherche de la sortie de crise et la nature de cette sortie ont pris un caractère particulier aujourd'hui après le nouveau coup d'Etat qui a coûté la vie au Président Bissau-guinéen. Le Président de la Commission en fut tout retourné: "C'est dramatique de constater qu'en l'espace de si peu de temps, nous enregistrons un troisième coup d'Etat en Afrique de l'Ouest. C'est un signe extrêmement inquiétant", s'était-il exclamé en pensant aux coups d'Etat des Juntes mauritanienne et guinéenne (Conakry).
Toute prime au coup d'Etat encouragerait la propagation de ce que l'Union Africaine qualifie, très justement, de fléau.
Source: formauritania
Il faut rappeler qu'une importante délégation du Front National pour la Défense de la Démocratie (FNDD) est déjà à Tripoli dans le cadre de la même entreprise de médiation. Elle comporte MM. Ba Alassane, Boidjel Ould Hmeid, Mohamed Ould Maouloud, Jemil Ould Mansour et Elkhalil Ould Teyeb.
Il est aussi attendu que le Président de l'Assemblée Nationale, Monsieur Messaoud Ould Boulkheir, fasse le déplacement.
On rappelle aussi que cette médiation libyenne a été adoptée et encouragée par le Groupe International de Contact sur la crise en Mauritanie lors de sa réunion le 20 février à Paris. Ce Groupe a aussi jugé "inacceptables" toutes les initiatives unilatérales tel l'agenda de le Junte. Il a aussi insisté sur l'importance des sanctions individuelles et ciblées édictées par le Conseil de Paix et de Sécurité du l'Union Africaine, le 5 février dernier.
La recherche de la sortie de crise et la nature de cette sortie ont pris un caractère particulier aujourd'hui après le nouveau coup d'Etat qui a coûté la vie au Président Bissau-guinéen. Le Président de la Commission en fut tout retourné: "C'est dramatique de constater qu'en l'espace de si peu de temps, nous enregistrons un troisième coup d'Etat en Afrique de l'Ouest. C'est un signe extrêmement inquiétant", s'était-il exclamé en pensant aux coups d'Etat des Juntes mauritanienne et guinéenne (Conakry).
Toute prime au coup d'Etat encouragerait la propagation de ce que l'Union Africaine qualifie, très justement, de fléau.
Source: formauritania