
Décidée demain à Dakar, une réunion serait tenue par le Groupe international de contact sur la Mauritanie pour débattre une proposition sénégalaise présentée par le ministre d’Etat et ministre des Affaires Etrangères sénégalais,
Cheikh Tidiane Gadio qui s’était engagé lors d’un dernier point de Presse à poursuivre la facilitation et à collaborer avec les parties prenantes dans la crise qui secoue la Mauritanie pour une issue consensuelle favorable aux acteurs politiques «concernés».
Cette proposition qui du côté de la rue Galandou Diouf comporte le report des élections présidentielles, la formation d’un gouvernement de transition et une nouvelle reconstitution impartiale de la Céni.
Elle vise d’une part à briser le mur de la discorde et d’autre part à rassurer l’opinion internationale que l’espoir demeure toujours affiché afin de rapprocher les antagonistes de la crise. Du coup, le Front National pour la Défense de la Démocratie, toujours favorable au président déposé Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, et le Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD) du traditionnel combattant de l’opposition, Ahmed Ould Daddah ont décidé de prendre part à cette réunion de groupe de contact sur la Mauritanie sur invitation du président Abdoulaye Wade, facilitateur dans cette crise politique.
Ainsi, une équipe représentant le FNDD et du RFD et composée entre autres de l’ancien ministre et ex-ambassadeur au Sénégal, Mohamed Abderahmane Ould Moine, Dr Mohamed Ould Mouloud, président de l’Union des Forces de Progrès (UFP) prendra donc part à cette rencontre avec les autres représentants qui ont soutenu le coup d’état du 06 août et qui sont favorables à tout contact pour une sortie de crise. En coulisse, ce groupe international sur la Mauritanie semble se tromper, dit-on, à Nouakchott de cible !
D’ailleurs, certains observateurs considèrent que l’absence aujourd'hui pour cette réunion de Bâ Amadou dit Mbare, Président du Sénat et Président de la République par intérim, du Président du Haut Conseil de l’Etat, Mohamed Ould Mohamed Cheikh Mohamed Ahmed et Président du conseil constitutionnel, Abdellahi Ould Ely Salem ne permet pas vraiment de gérer cette crise étant donné, conclurent-ils, que ce le contact n’est pas étroitement imbriqué ou n'a pas été branché directement.
Source: pointschauds
Cheikh Tidiane Gadio qui s’était engagé lors d’un dernier point de Presse à poursuivre la facilitation et à collaborer avec les parties prenantes dans la crise qui secoue la Mauritanie pour une issue consensuelle favorable aux acteurs politiques «concernés».
Cette proposition qui du côté de la rue Galandou Diouf comporte le report des élections présidentielles, la formation d’un gouvernement de transition et une nouvelle reconstitution impartiale de la Céni.
Elle vise d’une part à briser le mur de la discorde et d’autre part à rassurer l’opinion internationale que l’espoir demeure toujours affiché afin de rapprocher les antagonistes de la crise. Du coup, le Front National pour la Défense de la Démocratie, toujours favorable au président déposé Sidi Mohamed Ould Cheikh Abdallahi, et le Rassemblement des Forces Démocratiques (RFD) du traditionnel combattant de l’opposition, Ahmed Ould Daddah ont décidé de prendre part à cette réunion de groupe de contact sur la Mauritanie sur invitation du président Abdoulaye Wade, facilitateur dans cette crise politique.
Ainsi, une équipe représentant le FNDD et du RFD et composée entre autres de l’ancien ministre et ex-ambassadeur au Sénégal, Mohamed Abderahmane Ould Moine, Dr Mohamed Ould Mouloud, président de l’Union des Forces de Progrès (UFP) prendra donc part à cette rencontre avec les autres représentants qui ont soutenu le coup d’état du 06 août et qui sont favorables à tout contact pour une sortie de crise. En coulisse, ce groupe international sur la Mauritanie semble se tromper, dit-on, à Nouakchott de cible !
D’ailleurs, certains observateurs considèrent que l’absence aujourd'hui pour cette réunion de Bâ Amadou dit Mbare, Président du Sénat et Président de la République par intérim, du Président du Haut Conseil de l’Etat, Mohamed Ould Mohamed Cheikh Mohamed Ahmed et Président du conseil constitutionnel, Abdellahi Ould Ely Salem ne permet pas vraiment de gérer cette crise étant donné, conclurent-ils, que ce le contact n’est pas étroitement imbriqué ou n'a pas été branché directement.
Source: pointschauds