La Télévision mauritanienne a diffusé la soirée du 25 avril la cérémonie de présentation des lettres de créances de M. Sidi Ould Didi, l’ambassadeur mauritanien désigné par la junte suite au coup d’Etat du 6 août. La cérémonie s’est déroulée en présence du président Abdoulaye Wade.
M. Wade avait dépêché à plusieurs reprises son ministre des affaires étrangères, faire, sans succès, le médiateur entre les protagonistes de la crise mauritanienne consécutive au putsch.
Le front anti-putsch mauritanien avait par la voix du président de l’assemblée nationale mauritanienne demandé au Sénégal de «clarifier sa position par rapport au coup d’Etat du 6 août» et deux (des 3) protagonistes de la crise (la coalition RFD/FNDD) avaient posé des conditions au dialogue prôné par la «médiation» sénégalaise sans recevoir de réponses, ni du Sénégal et encore moins, de la junte.
«Notre position est celle de l’Union africaine. Et, la position de l’Union Africaine, nous l’avons dit et redit, c’est de ne pas être favorable aux changements anticonstitutionnels » a déclaré le 6 avril à Nouakchott le ministre sénégalais des affaires étrangères Cheikh Tidjane Gadio.
«Le Sénégal -Dieu merci- qui n’a jamais connu de changements politiques anticonstitutionnels, ne peut qu’être en conformité avec la charte de l’Union africaine qui refuse ces changements anticonstitutionnels» avait déclaré -sans convaincre- le chef de la diplomatie sénégalais.
Tahalil
M. Wade avait dépêché à plusieurs reprises son ministre des affaires étrangères, faire, sans succès, le médiateur entre les protagonistes de la crise mauritanienne consécutive au putsch.
Le front anti-putsch mauritanien avait par la voix du président de l’assemblée nationale mauritanienne demandé au Sénégal de «clarifier sa position par rapport au coup d’Etat du 6 août» et deux (des 3) protagonistes de la crise (la coalition RFD/FNDD) avaient posé des conditions au dialogue prôné par la «médiation» sénégalaise sans recevoir de réponses, ni du Sénégal et encore moins, de la junte.
«Notre position est celle de l’Union africaine. Et, la position de l’Union Africaine, nous l’avons dit et redit, c’est de ne pas être favorable aux changements anticonstitutionnels » a déclaré le 6 avril à Nouakchott le ministre sénégalais des affaires étrangères Cheikh Tidjane Gadio.
«Le Sénégal -Dieu merci- qui n’a jamais connu de changements politiques anticonstitutionnels, ne peut qu’être en conformité avec la charte de l’Union africaine qui refuse ces changements anticonstitutionnels» avait déclaré -sans convaincre- le chef de la diplomatie sénégalais.
Tahalil